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Notices d’autorité
Personne

Kennedy, John Fitzgerald (1917-1963 ; président des États-Unis)

  • FR28011201200016_NA_000000821
  • Personne
  • 1917-05-29/1963-11-22

Il est né le 29 mai 1917 à Brookline (Massachusetts) et mort assassiné le 22 novembre 1963 à Dallas (Texas), est un homme d'État américain, 35e président des États-Unis. Entré en poste le 20 janvier 1961, il est, à 43 ans, le plus jeune président élu des États-Unis, et également le plus jeune président à mourir, moins de trois ans après son entrée à la Maison-Blanche, à l'âge de 46 ans.

Il laisse son empreinte dans l'histoire des États-Unis par sa gestion de la crise des missiles de Cuba, son autorisation du débarquement de la baie des Cochons, son engagement pour le traité d'interdiction partielle des essais nucléaires, le programme Apollo dans le cadre de la course à l'espace, son opposition à la construction du mur de Berlin, sa politique d'égalité des genres et son assassinat. Ses prises de position en faveur de l'accord général sur les tarifs douaniers et le commerce lui valent d'être respecté jusque chez les républicains, et le mouvement afro-américain des droits civiques — qu'il soutient, voulant mieux intégrer les minorités dans la société — qui prend place durant sa présidence annonce la déségrégation.

En campagne pour sa réélection, il circule dans Dallas le 22 novembre 1963 à bord d'un véhicule découvert devant un nombreux public et alors qu'il traverse Dealey Plaza, des coups de feu l'atteignent mortellement. Les circonstances de son assassinat par Lee Harvey Oswald, seul coupable reconnu, ont donné lieu à de nombreuses enquêtes, ouvrages écrits et filmés, interprétations et théories du complot au fil des décennies ayant suivi son assassinat.

Lefeuvre, Simone (19..-2015 ; institutrice à l'école ménagère de Lhuis)

  • FR28011201200016_NA_000001044
  • Personne
  • 19../2015

Simone Lefeuvre a été institutrice à Lhuis au sein de l'école ménagère. Cette institution, aujourd'hui disparue, a vu passer dans ses murs plusieurs générations de jeunes filles de Lhuis mais aussi de tout le Bugey méridional et la haute vallée du Rhône. Destiné aux enseignements ménagers et agricoles, l'école à fonctionné pendant plus d'une décennie, installée dans le bâtiment de l'actuelle maison des associations.
Madame Lefeuvre, par le biais de sa sœur, Madame Monique Epardeau, a voulu léguer à la commune de Lhuis le fonds photographique et les documents qu'elle avait conservé pendant son activité en tant qu'institutrice à Lhuis.

Lorin, Antoine André (1779-1847 ; médecin et homme politique)

  • FR28011201200016_NA_000000835
  • Personne
  • 1779-12-23/1847-10-02

Médecin né à Thoissey, il devient magistrat et fut élu député de l’Ain, conseiller général et maire d’Illiat de 1828 à 1847. Chevalier de la Légion d’honneur et homme de lettres, il œuvre pour le développement de l’instruction de la commune en ouvrant une école en 1835 et en allant chercher lui-même l’instituteur à Bourg-en-Bresse qu’il loge chez lui.

Louis 16 (1754-1793 ; roi de France)

  • FR28011201200016_NA_000000027
  • Personne
  • 1754-08-23/1793-01-21

Duc de Berry, puis dauphin du 20 décembre 1765 (mort de son père le dauphin Louis) au 10 mai 1774 (mort de son grand-père Louis XV). Il épouse Marie-Antoinette d’Autriche le 16 mai 1770. Roi de France du 10 mai 1774 à 1791, roi des Français en 1791 et 1792.

Louis-Philippe 1er (1773-1850 ; roi des Français)

  • FR28011201200016_NA_000000846
  • Personne
  • 1773-10-06/1850-08-26

Louis-Philippe 1er est né le 6 octobre 1773 à Paris en France et mort le 26 août 1850 à Claremont au Royaume-Uni, est le dernier roi français et le seul à avoir été photographié. Il règne de 1830 à 1848 sur la France, avec le titre de « roi des Français ». Bien moins traditionaliste que ses prédécesseurs, il incarna un tournant majeur dans la conception et l'image de la royauté en France.

Dix-huit ans à la tête d’un royaume en profondes mutations sociales, économiques et politiques, Louis-Philippe – par la monarchie de Juillet – a tenté de pacifier une Nation profondément divisée avec les armes de son époque : mise en place d’un régime parlementaire, accession de la bourgeoisie aux affaires manufacturières et financières, permettant un essor économique de première importance en France (révolution industrielle).

La branche cadette des Bourbons, la maison d’Orléans, accède alors au pouvoir. Louis-Philippe n’est pas sacré roi de France mais intronisé roi des Français. Son règne, commencé avec les barricades de la révolution de 1830, s’achève en 1848 par d’autres barricades, qui le chassent pour instaurer la Deuxième République. La monarchie de Juillet, qui a été celle d’un seul roi, marque en France la fin de la royauté. Elle fait suite à la monarchie dite « conservatrice » que constitue la Restauration entre 1814 et 1830. La monarchie de Juillet est dite « libérale », et le monarque doit renoncer à la monarchie absolue de droit divin (absolutisme). L’idéal du nouveau régime est défini par Louis-Philippe répondant à la fin de janvier 1831 à l’adresse que lui envoie la ville de Gaillac : "Nous chercherons à nous tenir dans un juste milieu, également éloigné des excès du pouvoir populaire et des abus du pouvoir royal". Cependant, la chute du régime qu’il a fait naître a pour principales causes d'une part la paupérisation des « classes laborieuses » (paysans et ouvriers) et d'autre part le manque de compréhension de la part des élites de la monarchie de Juillet pour les aspirations de l’ensemble de la société française.

Après une agitation, le roi remplace le ministre François Guizot par Adolphe Thiers qui propose la répression. Reçu avec hostilité par la troupe stationnée au Carrousel, devant le palais des Tuileries, le roi se résout à abdiquer en faveur de son petit-fils, Philippe d'Orléans (1838-1894), en confiant la régence à sa bru, Hélène de Mecklembourg-Schwerin, mais en vain. La Deuxième République est proclamée le 24 février devant la colonne de la Bastille.

Louis-Philippe, qui se voulait être le roi citoyen à l'écoute du pays réel, appelé au trône et lié au pays par un contrat dont il tirait sa légitimité, n'a pas su — ou voulu — comprendre que le peuple français désirait élargir le corps électoral, pour les plus frileux politiquement en baissant le cens, pour les plus progressistes en établissant le suffrage universel.

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