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Notices d’autorité

Gorrevod (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000877
  • Collectivité
  • 1790/2099

Terre éponyme d'une vieille famille liée aux comtes de Pont-de-Vaux, par le Cardinal Louis de Gorrevod (1473-1535) au XVIe siècle. La commune lui doit son blason d'azur au chevron d'or.

En 1845, la partie ouest du territoire est détachée pour donner la commune de Reyssouze.

Granges (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000589
  • Collectivité
  • 1790/1972-11-23

En 1790, la paroisse de Granges est érigée en commune.

Par délibération du 23 novembre 1972, le conseil municipal de Matafelon approuve la fusion entre Matafelon et Granges-sur-Ain.

Grégoire 10 (1210-1276 ; pape)

  • FR28011201200016_NA_000000048
  • Personne
  • 1210/1276

Tedaldo ou Tebaldo Visconti né à Plaisance (Italie) en 1210 et mort à Arezzo (Italie) le 10 janvier 1276. Il a été chanoine de Lyon, archidiacre de Liège. Il est élu 184e pape le 1e décembre 1271 sous le nom de Grégoire X.

Grièges (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000984
  • Collectivité
  • 1790/2099

À l'époque gallo-romaine, le territoire était déjà occupé par une villa dont le nom était Chillia. Le bourg était alors formé de quelques maisons, l’église, le presbytère, le cimetière, la chapelle Saint-Gengoult, une école signalée dès 1750, soit le vieux bourg actuel. Il aurait pour origine le nom d'un domaine gallo-romain.

En 1272, le nom aurait été Chilliacus comme le mentionne Samuel Guichenon dans un de ses ouvrages dédiés à la Bresse. Selon Marie-Claude Guigue dans un ouvrage dédié à la Dombes, Chiliacus était le nom pour se référer au village autour de 1321 même si Chillia est évoqué vers 1325. Enfin, on trouve Chillies dans la pancarte des droits de cire autour de 1506.

Pour des raisons supposées d’éloignement, de difficultés d’accès, d’étroitesse de l’église, la partie sud du territoire se sépare. Elle construit alors son église et forme la future paroisse de Cormoranche . Le premier nom de la commune apparaît alors en 997 sous le nom de Grecio qui était à cette époque une simple localité, il proviendrait du gentilice Graecius. En 1570, les archives de l'Ain évoquent Grege. Le terrier de Saint-Cyr-sur-Menthon évoquent Griege en 1630 et les visites pastorales citent Greige en 1650. En 1793, on trouve le nom de Griége puis le nom actuel de Grièges en 1801 dans le bulletin des lois.

En 1601, après la fin de la guerre franco-savoyarde qui se termine par le Traité de Lyon, la commune devient française avec l'acquisition par la France de la Bresse, du Bugey, du Valromey et du pays de Gex. Elle est par la suite intégrée à la province bourguignonne.

Entre 1790 et 1795, elle était une municipalité du canton de Pont-de-Veyle, et dépendait du district de Châtillon-les-Dombes.

La Saône fait souvent l'objet de crues qui inondent régulièrement les prairies du val de Saône. Deux d'entre elles furent particulièrement marquantes. La plus importante crue connue date de 1840 , la deuxième plus importante date de 1955.

Harmonie de Lent (Ain)

  • FR28011201200016_NA_000000190
  • Collectivité
  • 1890/2099

La fanfare de Lent est constituée lors des réunions des 24 août, 31 août, 7 septembre et 21 septembre 1890. L’association change de dénomination entre 1951 et 1997.

Haut-Valromey (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000595
  • Collectivité
  • 2016-01-01/2099

Haut Valromey est, depuis le 1er janvier 2016, une commune nouvelle française résultant de la fusion des communes du Grand-Abergement, d'Hotonnes, du Petit-Abergement et de Songieu.

Henri 4 (1553-1610 ; roi de France)

  • FR28011201200016_NA_000000609
  • Personne
  • 1553-12-14/1610-05-14

Henri IV, né le 13 décembre 1553 à Pau et mort assassiné le 14 mai 1610 à Paris, est roi de Navarre sous le nom de Henri III (de 1572 à 1610), puis roi de France sous le nom de Henri IV (de 1589 à 1610), devenant à ce titre le premier roi de France issu de la maison capétienne de Bourbon. Il cumule ainsi les dignités de roi de France et de Navarre.

Bien que baptisé catholique à sa naissance, il s'implique dans les guerres de Religion en tant que prince du sang, roi de Navarre et chef protestant. Il abjure sa foi huguenote à l'occasion du massacre de la Saint-Barthélemy en 1572, puis redevient protestant en 1576 après sa fuite de la cour de France.

En 1584, il devient l'héritier légitime du trône conséquemment à la mort du duc François d'Anjou, frère cadet et héritier du roi Henri III de France. Les troubles religieux s'exacerbent, notamment sous la pression de la Sainte Ligue qui refuse de voir un huguenot monter sur le trône. L'avènement d'Henri IV survient pourtant en 1589, après l'assassinat d'Henri III, dernier souverain Valois, par le moine ligueur Jacques Clément.

Pour être accepté comme roi de France, Henri IV poursuit la guerre contre la Ligue, finit par se reconvertir au catholicisme le 25 juillet 1593, très officiellement en la Basilique de Saint-Denis, puis signe l'édit de Nantes en 1598, traité de paix qui tolère dans certaines limites le culte protestant, mettant ainsi fin à plus de trois décennies de guerres de Religion.

Alors qu'il prépare une guerre contre l'Espagne, il est assassiné le 14 mai 1610 par un fanatique charentais, François Ravaillac, rue de la Ferronnerie à Paris.

Hôpital intercommunal de Seyssel (Seyssel, Ain)

  • FR28011201200016_NA_000000948
  • Collectivité
  • 1876/1986

En 1876, le 1er octobre, Monsieur Joseph Edouard Victor Masse, né en 1815, rédige son testament. Il lègue à la ville de Seyssel (Ain et Haute-Savoie) par l’intermédiaire d’un légataire (Mr V.), les biens en argent qu’il a lui-même hérités de sa sœur Lucie Masse, morte en 1870, ses propres biens en argent, soit en tout, la somme de 180.000 francs qui représente des titres de rentes françaises à 3% rapportant 3 063 francs annuels, à 5% rapportant 1 850 francs annuels, des obligations du canal de Suez, du chemin de fer russe, du chemin de fer de Paris, des lits militaires, les biens mobiliers et immobiliers reviennent à Monsieur Vericel. En contrepartie, Seyssel doit s’occuper des pauvres et de la paroisse par une rente de 400 francs et 600 frans annuels à perpétuité et doit fonder un petit hôpital. Le 4 juin 1879, le legs sera officiellement délivré à Seyssel par le président de la République : Jules Grévy. Mais, il faudra attendre le 8 mai 1882 pour que les communes reçoivent enfin le legs, car le testament fût attaqué par les héritiers des Masse et parce que le légataire, Monsieur Véricel, qui pouvait attendre 6 mois avant de procéder au legs a fait transférer certaines obligations et avec les intérêts il a acheté une rente sur l’état français. En fin, parce qu’à la naissance de Lucie Masse, Seyssel Ain et Seyssel Haute-Savoie étaient une seule commune mais au moment du legs les deux Seyssel étaient séparés. Seyssel Ain refusait de reconnaître que Seyssel Haute-Savoie avait droit à la moitié du legs. Le tribunal accorda finalement à Seyssel Haute Savoie le bénéfice du legs.

En novembre 1986, Seyssel Haute-Savoie abandonne pour le franc symbolique ses droits au profit de Seyssel Ain, qui sera à cette date seule propriétaire de l’hôpital. Un hôpital n’ayant plus de raison d’être et la somme de 180.000 francs, par évolution économique, ne représentant plus rien en commun avec la réalité et ne pouvant plus permettre d’exécuter dignement les volontés testamentaires des M, sur demande de la commune le 31 décembre 1986 la direction départementale des affaires sanitaires et sociales décrète par un arrêté que « l’hôpital intercommunal des 2 Seyssel est supprimé, les biens de l’établissement sont dévolus au bureau d’aide sociale de Seyssel.

Hotonnes (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000594
  • Collectivité
  • 1790/2015-12-31

Le 1er janvier 2016, la commune d'Hotonnes fusionne avec celles du Grand-Abergement, du Petit-Abergement et de Songieu pour former la commune nouvelle de Haut Valromey.

Illiat (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000484
  • Collectivité
  • 1790/2099

À l’origine, la paroisse d’Illiat dépendait de l’Église de Lyon (Rhône). Au XIIe siècle, la paroisse se développe autour de la Tour de Pionneins. La succession des propriétés de ce château fort arrive au début du XIXe siècle à Antoine Lorin, date à laquelle également on commence à s’occuper du sort des habitants : création d’une école, construction de ponts et de voies d’accès vers les localités voisines, etc. À la même époque, Pierre Bossan, architecte de Notre-Dame-de-Fourvière à Lyon (Rhône) et de la basilique d’Ars-sur-Formans (Ain) fait édifier la flèche octogonale garnie de gargouilles surmontant la tour de l’église.

Datée du XIIe siècle et mentionnée pour la première fois vers 1250 dans un pouillé du diocèse de Lyon, l’église communale est placée sous le vocable de Saint Symphorien. Ses peintures murales romanes de l’abside sont les plus anciennes mises au jour dans le département. Elles semblent dater du milieu du XIIe siècle. L’intégralité du bâtiment ainsi que la parcelle sur laquelle il se situe et les peintures murales du XIIe siècle ont été classés en 2008 au titre des Monuments historiques.

Injoux (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000548
  • Collectivité
  • 1790/1972-12-31

Sous l’Ancien Régime, le village dépendant du seigneur de Génissiat et, juridiquement, du bailliage, de l’élection et de la subdélégation de Belley et du mandement de Seyssel.

En 1827, Génissiat, hameau de Craz-en-Michaille est rattaché à la commune d'Injoux.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, le barrage de Génissiat, noyé en 1940, fut un très grand foyer de Résistance, impliquant un nombre important d’ouvriers, notamment nord-africains, dont beaucoup furent raflés le 12 février 1944. Le barrage permet un très grand développement d’Injoux au niveau des infrastructures et du nombre d’habitants. C’est en raison de l’importance qu’a pris le hameau et de la notoriété du barrage qui porte son nom, la commune d’Injoux change de nom au profit d’Injoux-Génissiat (1953-1963).

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