1790/2099
Ars-sur-Formans est située dans le canton de Reyrieux. Implantée sur le plateau de la Dombes, la commune est traversée par une petite rivière le Formans. Initialement rattachée au canton de Trévoux à sa création, Ars-sur-Formans devient une commune du canton de Reyrieux en 1985.
Collectivité territoriale
La commune constitue le premier niveau d’administration territoriale et bénéficie de la clause de compétence générale, qui lui permet d’intervenir dans tous les domaines dès lors qu’il existe un intérêt public local. En tant que représentant de l’État dans la commune, le maire dispose d’un pouvoir de police et exerce des fonctions administratives sous l’autorité du préfet et judiciaires sous celle du procureur de la République.
1. Attributions du maire agissant au nom de l’État
• gestion de l’état civil : enregistrement des actes de naissances, mariages et décès, police funéraire ;
• publication des lois et règlements ;
• organisation matérielle des élections politiques et professionnelles ;
• organisation du recensement de la population ;
• protection de l’ordre public local : police municipale, circulation et stationnement, prévention.
2. Compétences communales
• entretien des voies communales ;
• enseignement : implantation et entretien des écoles maternelles et primaires, restauration scolaire ;
• culture : musées et bibliothèques municipales, archives, éducation et création artistiques ;
• sports et loisirs : gestion des équipements sportifs, financement d’associations sportives, promotion touristique ;
• sanitaire et social : gestion du centre communal d’action sociale et des infrastructures destinées à l’enfance ;
• environnement : entretien des espaces naturels (espaces verts), distribution de l’eau et l’assainissement, collecte et traitement des déchets ;
• urbanisme et aménagement du territoire : instruction et délivrance des autorisations d’urbanisme, élaboration des documents de planification urbaine et d’aménagement du territoire.
La commune constitue le premier niveau d’administration territoriale et bénéficie de la clause de compétence générale, qui lui permet d’intervenir dans tous les domaines dès lors qu’il existe un intérêt public local. En tant que représentant de l’État dans la commune, le maire dispose d’un pouvoir de police et exerce des fonctions administratives sous l’autorité du préfet et judiciaires sous celle du procureur de la République.
1. Attributions du maire agissant au nom de l’État
• gestion de l’état civil : enregistrement des actes de naissances, mariages et décès, police funéraire ;
• publication des lois et règlements ;
• organisation matérielle des élections politiques et professionnelles ;
• organisation du recensement de la population ;
• protection de l’ordre public local : police municipale, circulation et stationnement, prévention.
2. Compétences communales
• entretien des voies communales ;
• enseignement : implantation et entretien des écoles maternelles et primaires, restauration scolaire ;
• culture : musées et bibliothèques municipales, archives, éducation et création artistiques ;
• sports et loisirs : gestion des équipements sportifs, financement d’associations sportives, promotion touristique ;
• sanitaire et social : gestion du centre communal d’action sociale et des infrastructures destinées à l’enfance ;
• environnement : entretien des espaces naturels (espaces verts), distribution de l’eau et l’assainissement, collecte et traitement des déchets ;
• urbanisme et aménagement du territoire : instruction et délivrance des autorisations d’urbanisme, élaboration des documents de planification urbaine et d’aménagement du territoire.
[Code général des collectivités territoriales](http://www.legifrance.gouv.fr/affichCode.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633).
Décret du 14 décembre 1789 relatif à la constitution des municipalités. [Texte en ligne](http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65102508/f89.image)
Décret du 20 septembre 1792 qui détermine le mode de constater l’état civil des citoyens. [Texte en ligne](http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65121939/f492.image)
Loi du 28 pluviôse an VIII concernant la division du territoire de la République et l’administration. [Texte en ligne](http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6534793j/f268.image)
Loi du 21 mars 1831 sur l’organisation municipale. [Texte en ligne](http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6517354f/f229.image)
Loi n° 6946 du 18 juillet 1837 sur l’administration municipale. [Texte en ligne](http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k486417m/f152.image)
Loi n° 2635 du 5 mai 1855 sur l’organisation municipale [(texte en ligne)](http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4861347/f812.image) modifiée par la loi n° 15 327 du 24 juillet 1867 sur les conseillers municipaux [(texte en ligne)](http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k486159t/f110.image).
Loi du 5 avril 1884 relative à l’organisation municipale. [Texte en ligne](http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2141158/f389.image)
Ordonnance n° 59-33 du 5 janvier 1959 relative à la décentralisation et à la simplification de l’administration communale. [Texte en ligne](http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000687700&dateTexte=19590106&categorieLien=cid)
Loi n° 70-1297 du 31 décembre 1970 sur la gestion municipale et les libertés communales. [Texte en ligne](http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000693426&dateTexte=19710102)
Loi n° 82-213 du 2 mars 1982 relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions. [Texte en ligne](http://legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000880039&categorieLien=id)
Loi n° 82-623 du 22 juillet 1982 modifiant et complétant la loi n° 82-213 du 2 mars 1982 et précisant les nouvelles conditions d’exercice du contrôle administratif sur les actes des autorités communales, départementales et régionales. [Texte en ligne](http://legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000504203&categorieLien=id)
Loi n° 83-8 du 7 janvier 1983 relative à la répartition de compétences entre les communes, les départements, les départements, les régions et l’État. [Texte en ligne](http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000320197&categorieLien=id)
Loi n° 88-13 du 5 janvier 1988 d’amélioration de la décentralisation. [Texte en ligne](http://legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000875418&categorieLien=id)
Loi d’orientation n° 92-125 du 6 février 1992 relative à l’administration territoriale de la République. [Texte en ligne](http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000722113&categorieLien=id)
Loi n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales. [Texte en ligne](http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000023239624&dateTexte=&categorieLien=id)
1. Composition
La commune est administrée par un conseil municipal dont les membres sont élus au suffrage universel direct pour six ans. Le maire préside le conseil municipal, dont il organise les travaux et exécute les délibérations. Il est secondé par un ou plusieurs adjoints également élus en son sein par le conseil municipal.
2. Fonctionnement
L’administration communale est organisée autour d’un secrétariat unique.
Liste des maires de la commune :
Jean Dupont (1790-1792)
François Villier (1792-an IV)
Claude Dutant, agent municipal (an IV)
Jean Dutant, agent municipal (ans IV-V)
Benoit Traive, agent municipal (ans V-VI)
Pierre Marie Geoffray, agent municipal (an VI)
Antoine Mandy, agent municipal (ans VI-VII)
Michel Barbier, agent municipal (ans VII-VIII)
Antoine Mandy, agent municipal (an VIII ; démissionnaire)
Antoine Mandy (1800-1802)
François Cinier, né en 1756 (1802-1807)
Antoine Mandy (1807-1832)
Michel Sève (1832-1838)
Claude Prosper Garnier des Garets d’Ars (comte), né en 1799, conseiller d’arrondissement et conseiller général et propriétaire rentier (1838-1879 ; décédé)
Gaspard Sève né en 1811, cultivateur (1879-1884)
Jean-Baptiste Mandy-Trève, né en 1833, cultivateur (1884-1896)
Michel Verchère, né en 1832, charron forgeron (1896-1908 ; décédé)
André Benoît Trève, né en 1838, cultivateur (1908-1912)
Jean-François Cinier-Trève (1912-1944 ; décédé ; intérim assuré par Jean-Claude Mandy)
Louis Gillet (1944-1945 ; président du comité de Libération)
Antoine Mandy-Demole (1845-1947 ; démissionnaire)
Pierre Paturel (1947-1965)
Jean-Claude Dupont, né en 1900 (1965-1977)
André Gillet, né en 1917 (1977-1983)
Henri Dutruge, né en 1926, ingénieur (1983-1995)
Patrick Sandron, né en 1958, technicien (1995-2008)
Patrick Duvivier, né en 1959, directeur d’école (2008-2014)
Richard Paccaud, né en 1952, retraité (depuis 2014)
La commune est à l’origine un fief de la sirerie de Villars ; puis elle devient terre de la souveraineté de Beaujeu. Vers la fin du 16e siècle, la seigneurie arrive dans la famille Garnier des Garets au 15e siècle, Ars fut la principauté de la Dombes, châtellenie de Trévoux jusqu’au rattachement au Royaume de France en 1762.
En 1790, la paroisse d'Ars-sur-Formans est érigée en commune.
Au 19e siècle, on trouve « Ars ». Par décret du 12 octobre 1956, la commune prend son nom actuel de « Ars-sur-Formans », issu du nom d’une rivière du secteur. Jusqu’en 1959, date où apparaissent les entêtes dactylographiées, aucun document communal n’utilise cette nouvelle appellation. La commune est également appelée Ars, mais son appellation officielle, déterminée dans le Code officiel géographique de l'INSEE, est Ars-sur-Formans.