Verdelet, Pierre (cité en 1889-1896)
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- Person
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Verdelet, Pierre (cité en 1889-1896)
Chapuis, sieur (propriétaire ; cité en 1849)
Albertin, Joseph (voyageur de commerce ; cité en 1893)
Philibert 2 le Beau (1480-1504 ; duc de Savoie)
Philibert II, dit le Beau, né au château de Pont-d'Ain (Ain, France) le 10 avril 1480, mort dans le même lieu le 10 septembre 1504, est duc de Savoie et prince de Piémont de 1497 à 1504.
Il passe une partie de son enfance à la Cour de France, auprès de son oncle maternel, Pierre de Bourbon-Beaujeu, époux d'Anne de France. Il participe aux guerres d'Italie au côté de Louis XII. En 1497, il succède à son père à la tête du duché de Savoie. Il épouse, en premières noces, le 12 mai 1496, sa cousine Yolande-Louise de Savoie, héritière de la branche aînée de la famille, Philippe II et Philibert appartenant à la branche cadette. Mais la jeune femme meurt très vite. Philibert, chasseur passionné, laisse le gouvernement de ses États à son demi-frère, René de Savoie (fils naturel de Philippe II) et passe son temps en occupations frivoles.
En 1501, il se remarie à Marguerite d'Autriche, fille de l’empereur Maximilien Ier du Saint Empire et marraine de Charles Quint. Fin octobre ou début novembre a lieu à Dole le mariage par procuration entre le duc, représenté par son demi frère René de Savoie, et Marguerite.
La vie de Philibert le Beau va être bouleversée par cette union. En effet, cette jeune et belle princesse de 21 ans va séduire son mari, prendre sur lui une grande influence, et Marguerite fera chasser René de Savoie, après un procès infamant. Afin de maintenir sa neutralité, Philibert II refuse aux Français en 1502 le passage par ses États pour pénétrer en Italie du nord ; les forces du roi de France empruntent alors les vallées contrôlées par le marquisat de Saluces, ce qui permet à la Savoie de rester à l'écart du conflit.
Philibert meurt en 1504, âgé seulement de 24 ans, après un refroidissement (pneumonie) attrapé durant une partie de chasse (à laquelle il avait voulu participer, bien que grippé, en dépit de l'avis contraire de son épouse l'archiduchesse Marguerite d'Autriche). Il laisse le duché de Savoie à son demi-frère Charles II.
Marguerite d'Autriche fait construire l'église de Brou, en hommage à son mari, dans laquelle elle l'enterre avec sa mère Marguerite de Bourbon. Son cœur est déposé dans l'église de Pont-d'Ain. Cette dernière est détruite lors d'une crue en 16232.
Coudery, Pierre Nicolas (curé de Curciat-Dongalon ; cité en 1775)
Perraud, Étienne (curé de Curciat-Dongalon ; cité en 1778)
Donguy, Joseph (cité en 1849-1859)
Reboul, Charles (1852-1930 ; docteur et médecin)
Docteur et chef de travaux à la faculté de Lyon, il publia de nombreux ouvrages médicaux et passait chaque année ses vacances à Curciat. En 1912, il publia Un curé en Bresse pendant la Révolution.
Journaud, sieur (architecte ; cité en 1883-1888)
Pariset, sieur (cité en 1881-1888)
Pithioud, sieur (curé ; cité en 1907)
Froment, François (curé de Curciat-Dongalon ; cité en 1871-1873)
Terrier, Joseph (curé de Curciat-Dongalon ; cité en 18..)
Josserand, sieur (curé de Curciat-Dongalon ; cité en 1860)
Badez-Gavand, sieur (cité en 1881)
Billoud, Claude Joseph (cité en 1865)
Badoux, Antoine (cultivateur et fermier à Saint-Nizier-le-Bouchoux ; cité en 1848-1849)
Bouvard, Jean-Baptiste (cité en 1886)
Poncet, Claude (laboureur de Chamerande à Saint-Bénigne ; cité en 1777-1792)
Ravier, Jean-Louis (cité en 1788)
Mierray (veuve) née Poncet, Marie (citée en 1788)
Baissard, sieur (cité en 1861)
Donguy, Jean-François (cité en 1891)
Jacqueroux, Joseph (cité en 1895)
Buchaille, jeune (cité en 1899)
Ferreol-Bouvier, Joseph Antoine (cité en 1853 et 1855)
Rion, Jean-Baptiste (cité en 1849, 1855 et 1865)
Clair, Jean-François (propriétaire ; cité en 1854-1856)
Estienne, Louis Nicolas Lucien (notaire et maire de Saint-Bénigne de 1860 à 1868 ; cité en 1872)
Guépy (veuve) née Ravier, Marie Claudine Clarisse (citée en 1896-1897)
Parnet Morel, Pierre Marie (cité en 1879)
Danancher, Alexandre (ouvrier maçon ; cité en 1902-1903 et 1906)
Magnin, Jean (curé de Pont-de-Vaux ; cité en 1912-1913)
Chanel, Prosper (boucher ; cité en 1911)
Vernay (veuve) née Greffet, Claudine (citée en 1905-1907)
Tonnard, sieur (cité en 1856-1863)
Guillemot, Joseph Marie (cité en 1869)
Derriat, Pierre (curé d'Attignat ; cité en 1899 et 1903)
Gay (puisatier ; cité en 1890)
Malivert, Jean-Marie (1757-18..)
Foncelas, Benoît (cité en 1812)
Henri 4 (1553-1610 ; roi de France)
Henri IV, né le 13 décembre 1553 à Pau et mort assassiné le 14 mai 1610 à Paris, est roi de Navarre sous le nom de Henri III (de 1572 à 1610), puis roi de France sous le nom de Henri IV (de 1589 à 1610), devenant à ce titre le premier roi de France issu de la maison capétienne de Bourbon. Il cumule ainsi les dignités de roi de France et de Navarre.
Bien que baptisé catholique à sa naissance, il s'implique dans les guerres de Religion en tant que prince du sang, roi de Navarre et chef protestant. Il abjure sa foi huguenote à l'occasion du massacre de la Saint-Barthélemy en 1572, puis redevient protestant en 1576 après sa fuite de la cour de France.
En 1584, il devient l'héritier légitime du trône conséquemment à la mort du duc François d'Anjou, frère cadet et héritier du roi Henri III de France. Les troubles religieux s'exacerbent, notamment sous la pression de la Sainte Ligue qui refuse de voir un huguenot monter sur le trône. L'avènement d'Henri IV survient pourtant en 1589, après l'assassinat d'Henri III, dernier souverain Valois, par le moine ligueur Jacques Clément.
Pour être accepté comme roi de France, Henri IV poursuit la guerre contre la Ligue, finit par se reconvertir au catholicisme le 25 juillet 1593, très officiellement en la Basilique de Saint-Denis, puis signe l'édit de Nantes en 1598, traité de paix qui tolère dans certaines limites le culte protestant, mettant ainsi fin à plus de trois décennies de guerres de Religion.
Alors qu'il prépare une guerre contre l'Espagne, il est assassiné le 14 mai 1610 par un fanatique charentais, François Ravaillac, rue de la Ferronnerie à Paris.
Berger, Vincent (syndic de Tossiat ; cité en 1607)
Cala[bre] Claude de (comte de La Roche et seigneur de Varambon et de Tossiat ; cité en 1490)