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Notices d’autorité

Frèrejean, Françoise (épouse Lorin ; 1796-1853)

  • FR28011201200016_NA_000000834
  • Personne
  • 1796-05-18/1853

Veuve d’Antoine Lorin et décédée sans héritier direct, elle lègue une partie de ses biens à la commune d'Illiat : un local pour une école de filles, un terrain pour un nouveau cimetière, de l’argent pour les indigents, etc. En 1853, elle a également légué à la ville de Bourg-en-Bresse une importante collection de tableaux des écoles françaises et flamandes estimée à 5 500 francs à l’époque et une collection de sculptures et pièces de mobilier. Ce legs est à l'origine du musée de Brou actuel (Musée Lorin de 1854 à 1922).

Cleyzieu (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000836
  • Collectivité
  • 1790/2099

L’orthographie du toponyme de Cleyzieu a évoluée au cours des siècles, ce qu’on peut observer sur les plus vieux documents de la commune. Les formules « Clezieu », « Clesieu » ou encore « Claizieux » n’y sont pas rares. Le mot peut venir du latin « Ecclesia ».

L’église de Cleyzieu, sous le vocable de Saint Martin, appartenait au domaine de l’Abbé de Saint-Rambert.

Sous l’Ancien Régime, le fief de Cleyzieu dépendaint du Marquisat de Saint-Rambert. D’abord en possession de la famille de Monferrand (XIIIème siècle), en 1530 le territoire appartient au seigneur d’Arbuzenier, Jean de Belli. Par la suite il fut acquis par Pierre de Lons, écuyer. En 1616, Henri de Savoie, duc de Nemours et marquis de Saint-Rambert inféode au seigneur de Cleyzieu, la justice moyenne et basse. D’autres seigneurs avaient le contrôle de ce territoire jusqu’à la Révolution, les derniers appartenant à la famille Dujast d’Ambérieu.

Le château de Cleyzieu, aujourd’hui en ruines, était situé au sud-est du bourg. Il semblerait également que vers le milieu du XVIIème siècle une peste fit des ravages parmi la population locale, qui se rapprocha de la source d’eau venant ainsi s’installer dans l’endroit ou se dresse le village aujourd’hui. A la Révolution, le prêtre de la commune, l’Abbé Martin Gaillard, réfractaire, fut détenu et déporté à l’ïle-de-Ré. Dans le cimetière, une épitaphe rappelle son exil.

Henri 4 (1553-1610 ; roi de France)

  • FR28011201200016_NA_000000609
  • Personne
  • 1553-12-14/1610-05-14

Henri IV, né le 13 décembre 1553 à Pau et mort assassiné le 14 mai 1610 à Paris, est roi de Navarre sous le nom de Henri III (de 1572 à 1610), puis roi de France sous le nom de Henri IV (de 1589 à 1610), devenant à ce titre le premier roi de France issu de la maison capétienne de Bourbon. Il cumule ainsi les dignités de roi de France et de Navarre.

Bien que baptisé catholique à sa naissance, il s'implique dans les guerres de Religion en tant que prince du sang, roi de Navarre et chef protestant. Il abjure sa foi huguenote à l'occasion du massacre de la Saint-Barthélemy en 1572, puis redevient protestant en 1576 après sa fuite de la cour de France.

En 1584, il devient l'héritier légitime du trône conséquemment à la mort du duc François d'Anjou, frère cadet et héritier du roi Henri III de France. Les troubles religieux s'exacerbent, notamment sous la pression de la Sainte Ligue qui refuse de voir un huguenot monter sur le trône. L'avènement d'Henri IV survient pourtant en 1589, après l'assassinat d'Henri III, dernier souverain Valois, par le moine ligueur Jacques Clément.

Pour être accepté comme roi de France, Henri IV poursuit la guerre contre la Ligue, finit par se reconvertir au catholicisme le 25 juillet 1593, très officiellement en la Basilique de Saint-Denis, puis signe l'édit de Nantes en 1598, traité de paix qui tolère dans certaines limites le culte protestant, mettant ainsi fin à plus de trois décennies de guerres de Religion.

Alors qu'il prépare une guerre contre l'Espagne, il est assassiné le 14 mai 1610 par un fanatique charentais, François Ravaillac, rue de la Ferronnerie à Paris.

Louis-Philippe 1er (1773-1850 ; roi des Français)

  • FR28011201200016_NA_000000846
  • Personne
  • 1773-10-06/1850-08-26

Louis-Philippe 1er est né le 6 octobre 1773 à Paris en France et mort le 26 août 1850 à Claremont au Royaume-Uni, est le dernier roi français et le seul à avoir été photographié. Il règne de 1830 à 1848 sur la France, avec le titre de « roi des Français ». Bien moins traditionaliste que ses prédécesseurs, il incarna un tournant majeur dans la conception et l'image de la royauté en France.

Dix-huit ans à la tête d’un royaume en profondes mutations sociales, économiques et politiques, Louis-Philippe – par la monarchie de Juillet – a tenté de pacifier une Nation profondément divisée avec les armes de son époque : mise en place d’un régime parlementaire, accession de la bourgeoisie aux affaires manufacturières et financières, permettant un essor économique de première importance en France (révolution industrielle).

La branche cadette des Bourbons, la maison d’Orléans, accède alors au pouvoir. Louis-Philippe n’est pas sacré roi de France mais intronisé roi des Français. Son règne, commencé avec les barricades de la révolution de 1830, s’achève en 1848 par d’autres barricades, qui le chassent pour instaurer la Deuxième République. La monarchie de Juillet, qui a été celle d’un seul roi, marque en France la fin de la royauté. Elle fait suite à la monarchie dite « conservatrice » que constitue la Restauration entre 1814 et 1830. La monarchie de Juillet est dite « libérale », et le monarque doit renoncer à la monarchie absolue de droit divin (absolutisme). L’idéal du nouveau régime est défini par Louis-Philippe répondant à la fin de janvier 1831 à l’adresse que lui envoie la ville de Gaillac : "Nous chercherons à nous tenir dans un juste milieu, également éloigné des excès du pouvoir populaire et des abus du pouvoir royal". Cependant, la chute du régime qu’il a fait naître a pour principales causes d'une part la paupérisation des « classes laborieuses » (paysans et ouvriers) et d'autre part le manque de compréhension de la part des élites de la monarchie de Juillet pour les aspirations de l’ensemble de la société française.

Après une agitation, le roi remplace le ministre François Guizot par Adolphe Thiers qui propose la répression. Reçu avec hostilité par la troupe stationnée au Carrousel, devant le palais des Tuileries, le roi se résout à abdiquer en faveur de son petit-fils, Philippe d'Orléans (1838-1894), en confiant la régence à sa bru, Hélène de Mecklembourg-Schwerin, mais en vain. La Deuxième République est proclamée le 24 février devant la colonne de la Bastille.

Louis-Philippe, qui se voulait être le roi citoyen à l'écoute du pays réel, appelé au trône et lié au pays par un contrat dont il tirait sa légitimité, n'a pas su — ou voulu — comprendre que le peuple français désirait élargir le corps électoral, pour les plus frileux politiquement en baissant le cens, pour les plus progressistes en établissant le suffrage universel.

Lorin, Antoine André (1779-1847 ; médecin et homme politique)

  • FR28011201200016_NA_000000835
  • Personne
  • 1779-12-23/1847-10-02

Médecin né à Thoissey, il devient magistrat et fut élu député de l’Ain, conseiller général et maire d’Illiat de 1828 à 1847. Chevalier de la Légion d’honneur et homme de lettres, il œuvre pour le développement de l’instruction de la commune en ouvrant une école en 1835 et en allant chercher lui-même l’instituteur à Bourg-en-Bresse qu’il loge chez lui.

Lélex (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000873
  • Collectivité
  • 1790/2099

Cette petite commune doit son origine à un bureau des fermes, établi vers 1612, époque où la vallée de Lélex et de Mijoux fut partagée entre le roi de France et l'archiduc d'Autriche qui possédait la Franche-Comté. Les terres de Lélex dépendaient de Chézery et ce n’est qu’en 1760, lors du traité de Turin, qu’elles furent rattachées à la France.

En 1789, Lélex était une communauté du bailliage appartenant à la subdélégation de Gex. L’église paroissiale de Lélex, bâtie en 1656 et consacrée en 1680 par Jean d'Arenthon d'Alex, évêque de Genève, fut reconstruite en 1846.

Chavornay (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000874
  • Collectivité
  • 1790/2018-12-31

La première référence connue remonte à Raymond de Chavornay, en 1150. Plus tard, ces possessions passent aux mains de Jacques de Seyssel-d’Artemare, écuyer. Au XIXème siècle la tour de Chavornay appartenait à M. Chaboud, juge de paix du canton de Champagne.

L’intendant Bouchu décrit le village de Chavornay au XVIIème siècle et mentionne déjà les quatre hameaux nommés Oche, Charatin, Vouray et Dazin. Aujourd’hui on parle également du hameau de la Chapelle. La seigneurie de Chavornay dépendait du château de Lairieu dont le seigneur était Joachim du Cros, comte de Groslée. Les revenus du seigneur était très faibles, ce qu’il explique par la situation du village, sur le versant de la montagne ainsi que son étendue, de seulement un quart de lieue. Soixante-dix habitants sont dénombrés à Chavornay, tenant compte des quatre hameaux, tous pauvres. Il ne signale aucun commerce ni pont ni rivière. On cultivait, sur les terres de Chavornay, la vigne, le seigle, le froment, l’orge et l’avoine. L’église de Chavornay, qui avait une couverture en paille, et une planche placée sur le torrent du Laval représentaient les principales charges de Chavornay.

La commune fusionne le 1er janvier 2019 avec les communes de Brénaz, Lochieu et Virieu-le-Petit pour former la commune nouvelle d'Arvière-en-Valormey.

Arvière-en-Valromey (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000875
  • Collectivité
  • 2019-01-01/2099

Arvière-en-Valromey est une commune nouvelle française résultant de la fusion au 1er janvier 2019 des communes de Brénaz, Chavornay, Lochieu et Virieu-le-Petit.

Le nom de la commune est formé du nom Arvière qui est le nom de la rivière qui prend sa source à Brénaz et traverse dans Lochieu et Virieu-le-Petit. Le complément -en-Valromey indique la région dans laquelle est située la commune.

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