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Notices d’autorité

Syndicat intercommunal d’électricité de Germagnat-Pouillat (Germagnat, Ain)

  • FR28011201200016_NA_000001085
  • Collectivité
  • 1925-04-30/1996-04-03

Créé par arrêté préfectoral du 3 avril 1925, le syndicat intercommunal d’électricité de Germagnat-Pouillat pour accorder et d’exploiter une concession de distribution d’énergie électrique. En 1956, il adhère au syndicat départemental d'électricité de l'Ain.

En 1995 et en raison de la baisse du nombre de réunions se limitant au vote et à l’approbation des budgets et comptes et dans un souci de simplification et d’économie, les élus des deux communes décident à l’unanimité de dissoudre le syndicat. Sa dissolution est effective par arrêté préfectoral du 30 avril 1996.

Ramasse (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000001087
  • Collectivité
  • 1790/2099

La paroisse de Ramasse était, comme on peut le constater par la sentence du parlement de Dijon de 1648, une annexe de la communauté de Jasseron (AA1).
Dans le territoire de la commune il y a plusieurs grottes (Grotte de la Tessonnière, gouffre de la Combe aux malades, etc.) dont certaines ont fait l’objet de fouilles archéologiques. L’église du village date du XIXème siècle et elle a été bâtie à l’emplacement de l’ancienne chapelle, édifiée en 1540. Outre l’église du village, on trouve également un édifice religieux sur les hauteurs du territoire communal, il s’agit de Notre-Dame des Conches ainsi que du site classé des vestiges de l’église de Saint-Julien-sur-Roche, exhumées en 1938 par l’abbé Gringoz, historien et curé de Ramasse. Cette église, fort ancienne, existait déjà au XIIIème siècle et fut probablement incendiée par les troupes de l’amiral Chabot lors de la guerre contre la Savoie menée par François I en 1536.

Saint-Rémy (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000001096
  • Collectivité
  • 1790/2099

Il existait sur la commune une maison forte dite du Châtelard, bâtie par Bérard de Lyonnières au XIIIe siècle.

A travers le temps, Saint-Rémy a connu plusieurs dénominations : Saint-Remis (XIIIe siècle), Sancti-Remigii (XIIIe siècle), Sancto-Rumey (XIIIe siècle), Seint-Rumy (XIVe siècle), Sainct-Remis (XVIe siècle) ou encore Saint-Rémy-près-Bourg (XVIIIe siècle).

Sous l’Ancien Régime, le village dépendait du seigneur de Lyonnières puis du seigneur de la Bâtie, et faisait partie du bailliage, de l’élection, de la subdélégation et du mandement de Bourg.

L’église Saints-Rémy-et-Clair est siège de la paroisse. Sous l’Ancien Régime, elle dépendait en partie du baron de Corgenon et du seigneur de Bondillon. Sous l’Ancien Régime, la seigneurie de Bondillon était possédée par le prieuré de Neuville-les-Dames puis par les familles de La Coste de Chandée (1687), de Martinoux (1722-1742), Bernard (1742), de Borsac et d’Apchon (1765).

Des Monstiers de Mérinville, René (1742-1829 ; évêque)

  • FR28011201200016_NA_000001111
  • Personne
  • 1742-07-01/1829-11-12

René des Monstiers de Mérinville est né le 1er juillet 17421, au château d'Auby (Limoges), en Limousin.

Il entre dans les ordres et devient prieur d'Auby.

Parallèlement à sa charge épiscopale, il occupe la charge de conseiller d'honneur au parlement de Bourgogne, à Dijon, puis est élu député du clergé aux États généraux, pour le bailliage de Dijon, du 7 avril 1789 au 30 octobre 1791. Il signe, le 9 avril 1790, avec vingt-neuf autres députés issus du clergé le texte Exposition des principes sur la Constitution civile du clergé. Il refuse, le 27 novembre suivant de prêter serment à la Constitution civile du clergé. Il émigre et ne revient qu'en 1800. Durant cette période, il conserve son titre épiscopal mais, étant émigré et réfractaire, l'administration du diocèse de Dijon revient à un évêque constitutionnel, Jean-Baptiste Volfius.

René des Monstiers de Mérinville s'éteint le 11 juillet 18291, à Versailles.

Syndicat du bassin versant de la Reyssouze (Montrevel-en-Bresse)

  • FR28011201200016_NA_000001110
  • Collectivité
  • 1956-04-25/2099

En 1930, émerge l’idée de la création d’une structure syndicale pour faire une réflexion autour de la Reyssouze. Deux ans plus tard, en 1932 : la Préfecture de l’Ain créé une commission d’aménagement de la Reyssouze pour examiner le plan d’urbanisme de la ville de Bourg-en-Bresse.

Après 1935, des élus pensent qu’associer les problèmes citadins (quartiers inondés) et ruraux (dégâts agricoles) permettrait de trouver une solution satisfaisante pour tous. Ce processus de concertation est interrompu dans les 1939 à 1945 suite aux conflits mondiaux.

Il ne reprendra qu’en 1952 avec l’organisation de concertations puis d’une réunion d’information par la Préfecture « pour un aménagement rationnel et durable du lit de la Reyssouze entre Montagnat et son confluent avec la Saône ». Est alors proposée la création d’un « syndicat intercommunal groupant l’ensemble des communes riveraines » dont le siège est fixé à la mairie de Montrevel-en-Bresse. Par arrêté préfectoral du 25 avril 1956 est créé le syndicat intercommunal d’aménagement et d’entretien de la Reyssouze (SIAER).

A partir de 1972 et sous la présidence du docteur Louis Jannel, de nouveaux objectifs sont fixés. Pour mieux définir sa mission, le syndicat décide de réaliser à une étude approfondie des causes de dégradation de la rivière qui conduira à l’élaboration du 1er contrat de rivières (1997-2004).

Sous la présidence de Jean-Paul Morel, le syndicat étend ses compétences avec l’entretien et la réfection des installations hydrauliques des moulins et des berges de cours d’eau.

Par arrêté préfectoral du 10 février 1997, le SIAER modifie ses statuts et change de dénomination par le « syndicat intercommunal d’aménagement et d’entretien de la Reyssouze et de ses affluents » (SIAERA).

En octobre 2010, en raison de la volonté de la Communauté de communes de la Vallière d’adhérer au SIAERA, ce dernier envisage se transformer en syndicat mixte fermé et de modifier à nouveau ses statuts. Ces changements de statuts s’accompagnent d’un changement de dénomination par « syndicat du bassin versant de la Reyssouze » (SBVR).

En 2014, le 2ème contrat de rivières est élaboré pour la période 2014 à 2018.

Philibert 2 le Beau (1480-1504 ; duc de Savoie)

  • FR28011201200016_NA_000001114
  • Personne
  • 1480-04-10/1504-09-10

Philibert II, dit le Beau, né au château de Pont-d'Ain (Ain, France) le 10 avril 1480, mort dans le même lieu le 10 septembre 1504, est duc de Savoie et prince de Piémont de 1497 à 1504.

Il passe une partie de son enfance à la Cour de France, auprès de son oncle maternel, Pierre de Bourbon-Beaujeu, époux d'Anne de France. Il participe aux guerres d'Italie au côté de Louis XII. En 1497, il succède à son père à la tête du duché de Savoie. Il épouse, en premières noces, le 12 mai 1496, sa cousine Yolande-Louise de Savoie, héritière de la branche aînée de la famille, Philippe II et Philibert appartenant à la branche cadette. Mais la jeune femme meurt très vite. Philibert, chasseur passionné, laisse le gouvernement de ses États à son demi-frère, René de Savoie (fils naturel de Philippe II) et passe son temps en occupations frivoles.

En 1501, il se remarie à Marguerite d'Autriche, fille de l’empereur Maximilien Ier du Saint Empire et marraine de Charles Quint. Fin octobre ou début novembre a lieu à Dole le mariage par procuration entre le duc, représenté par son demi frère René de Savoie, et Marguerite.

La vie de Philibert le Beau va être bouleversée par cette union. En effet, cette jeune et belle princesse de 21 ans va séduire son mari, prendre sur lui une grande influence, et Marguerite fera chasser René de Savoie, après un procès infamant. Afin de maintenir sa neutralité, Philibert II refuse aux Français en 1502 le passage par ses États pour pénétrer en Italie du nord ; les forces du roi de France empruntent alors les vallées contrôlées par le marquisat de Saluces, ce qui permet à la Savoie de rester à l'écart du conflit.

Philibert meurt en 1504, âgé seulement de 24 ans, après un refroidissement (pneumonie) attrapé durant une partie de chasse (à laquelle il avait voulu participer, bien que grippé, en dépit de l'avis contraire de son épouse l'archiduchesse Marguerite d'Autriche). Il laisse le duché de Savoie à son demi-frère Charles II.

Marguerite d'Autriche fait construire l'église de Brou, en hommage à son mari, dans laquelle elle l'enterre avec sa mère Marguerite de Bourbon. Son cœur est déposé dans l'église de Pont-d'Ain. Cette dernière est détruite lors d'une crue en 16232.

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