Descombes, Benoît (sergent voltigeur au 30e régiment de ligne ; cité en 1810)
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Descombes, Benoît (sergent voltigeur au 30e régiment de ligne ; cité en 1810)
Musy, François (militaire déserteur ; cité en l'an XI)
Bourdon, Jean-François (militaire de la garde nationale mobile ; cité en 1870)
L’orthographie du toponyme de Cleyzieu a évoluée au cours des siècles, ce qu’on peut observer sur les plus vieux documents de la commune. Les formules « Clezieu », « Clesieu » ou encore « Claizieux » n’y sont pas rares. Le mot peut venir du latin « Ecclesia ».
L’église de Cleyzieu, sous le vocable de Saint Martin, appartenait au domaine de l’Abbé de Saint-Rambert.
Sous l’Ancien Régime, le fief de Cleyzieu dépendaint du Marquisat de Saint-Rambert. D’abord en possession de la famille de Monferrand (XIIIème siècle), en 1530 le territoire appartient au seigneur d’Arbuzenier, Jean de Belli. Par la suite il fut acquis par Pierre de Lons, écuyer. En 1616, Henri de Savoie, duc de Nemours et marquis de Saint-Rambert inféode au seigneur de Cleyzieu, la justice moyenne et basse. D’autres seigneurs avaient le contrôle de ce territoire jusqu’à la Révolution, les derniers appartenant à la famille Dujast d’Ambérieu.
Le château de Cleyzieu, aujourd’hui en ruines, était situé au sud-est du bourg. Il semblerait également que vers le milieu du XVIIème siècle une peste fit des ravages parmi la population locale, qui se rapprocha de la source d’eau venant ainsi s’installer dans l’endroit ou se dresse le village aujourd’hui. A la Révolution, le prêtre de la commune, l’Abbé Martin Gaillard, réfractaire, fut détenu et déporté à l’ïle-de-Ré. Dans le cimetière, une épitaphe rappelle son exil.
Frèrejean, Françoise (épouse Lorin ; 1796-1853)
Veuve d’Antoine Lorin et décédée sans héritier direct, elle lègue une partie de ses biens à la commune d'Illiat : un local pour une école de filles, un terrain pour un nouveau cimetière, de l’argent pour les indigents, etc. En 1853, elle a également légué à la ville de Bourg-en-Bresse une importante collection de tableaux des écoles françaises et flamandes estimée à 5 500 francs à l’époque et une collection de sculptures et pièces de mobilier. Ce legs est à l'origine du musée de Brou actuel (Musée Lorin de 1854 à 1922).
Merline, Charles (cité en 1857-1860)
De Veyle, Claude Marie (cité en 1827-1838)
Carrier (curé d'Illiat de 1759 à 1… ; cité en 1759)
Société d'assurances mutuelles contre l'incendie de Chavannes-sur-Reyssouze (Ain)
Société d'assurance mutuelle contre l'incendie de Saint-Étienne-sur-Chalaronne (Ain)
Bellay, Marie-Rose (veuve Fleury ; citée en 1901-1902)
Dupupet (propriétaire du moulin de Montrin ; cité en 1856)
De La Serve (propriétaire du moulin de la Besace ; cité en 1854)
De Vogué (propriétaire du moulin de la Haute-Serve ; cité en 1811)
Bouilloux (cité en 1868 et 1870)
Donguy, Nicolas (cité en 1883-1884)
Kennedy, John Fitzgerald (1917-1963 ; président des États-Unis)
Il est né le 29 mai 1917 à Brookline (Massachusetts) et mort assassiné le 22 novembre 1963 à Dallas (Texas), est un homme d'État américain, 35e président des États-Unis. Entré en poste le 20 janvier 1961, il est, à 43 ans, le plus jeune président élu des États-Unis, et également le plus jeune président à mourir, moins de trois ans après son entrée à la Maison-Blanche, à l'âge de 46 ans.
Il laisse son empreinte dans l'histoire des États-Unis par sa gestion de la crise des missiles de Cuba, son autorisation du débarquement de la baie des Cochons, son engagement pour le traité d'interdiction partielle des essais nucléaires, le programme Apollo dans le cadre de la course à l'espace, son opposition à la construction du mur de Berlin, sa politique d'égalité des genres et son assassinat. Ses prises de position en faveur de l'accord général sur les tarifs douaniers et le commerce lui valent d'être respecté jusque chez les républicains, et le mouvement afro-américain des droits civiques — qu'il soutient, voulant mieux intégrer les minorités dans la société — qui prend place durant sa présidence annonce la déségrégation.
En campagne pour sa réélection, il circule dans Dallas le 22 novembre 1963 à bord d'un véhicule découvert devant un nombreux public et alors qu'il traverse Dealey Plaza, des coups de feu l'atteignent mortellement. Les circonstances de son assassinat par Lee Harvey Oswald, seul coupable reconnu, ont donné lieu à de nombreuses enquêtes, ouvrages écrits et filmés, interprétations et théories du complot au fil des décennies ayant suivi son assassinat.
Baux, Jules (1806-1890 ; archiviste de l'Ain)
Il est né en 1806 à Lyon (Rhône, France)
Perret, Louis Paul (instructeur du bataillon scolaire de Journans ; cité en 1884)
Berger, Camille (cultivateur ; cité en 1901)
Son (épouse Châtillon ; citée en 1903)
Barrachin, Georges (cité en 1832-1833)
Berger, Georges (cité en 1860)
Arod, Benoit (cité en 1854-1855)
Galin, François (fabricant de chaux ; cité en 1872, 1878, 1881 et 1883-1884)
Tout au long de son histoire, la commune se développe grâce au pont qui traverse l’Ain et à son château. Construit primitivement par les sieurs de Coligny, le château appartenait à partir du XIIIème siècle aux comtes de Savoie. C’est à cette période qu’Amédée V concéda une charte de franchises à la commune (21 avril 1319). Un atelier de frappe de monnaie est crée après l’octroi de la charte. Pont-d’Ain se développe grâce à ces privilèges et au commerce des grains qui se faisait par le pont situé au pied du château.
Sur le plan cadastral de 1808 (1G1), on constate que les habitations de la commune étaient davantage implantées autour de l’église et du château, sur la route d’Oussiat. Seulement quelques maisons étaient édifiées près du carrefour des Quatre-Vents. Pendant la Seconde Guerre Mondiale, ce même carrefour -bien plus étoffé d’édifications- fut bombardé le 31 août et 1er septembre 1944, causant l’incendie de plusieurs maisons et beaucoup de dégâts. Les travaux de reconstruction d’après guerre se prolongent sur plusieurs années (4H5).
« L’histoire du Montellier demeure liée à celle du château qui exerçait la justice sur le village et les environs. Du XIIème au XVIIIème siècle, la châtellenie du Montellier était l’une des plus étendue de la Dombes. De l’ancien village bâti autour du château il subsiste les fermes et l’imposant édifice construit en carrons sur une poype, cette élévation de terre typique en Dombes.
La commune a été, et est toujours, le lieu de résidence de personnalités célèbres. Citons Jacqueline de Montbel (1541-1599), Gabriel Greppo (propriétaire foncier et agronome), son fils grand vicaire, Marius Berliet (1866-1949) et son fils Paul, ou encore Paul Bocuse.
Au Xe siècle, le village de Thoissey dépendait de l’abbaye de Cluny. Trois siècles plus tard, Humbert V de Beaujeu en était le seul seigneur. En 1310, son successeur Guichard VI accorda une charte de franchise aux habitants. Celle-ci fut confirmée jusqu’en 1658 par la Grande-Mademoiselle, princesse des Dombes.
Un collège fut fondé en 1680 par Philibert Girié, prêtre et docteur en théologie, et plusieurs autres prêtres. Le collège était composé d’anciens bâtiments scolaires donnés par Étienne Pole, bourgeois de Thoissey. En 1684, l’archevêque de Lyon Camille de Neuville permit au collège de disposer d’une chapelle particulière. Une imprimerie composait aussi le paysage thoisseyien à partir de 1696. En 1701, un hôpital fut construit. Suspendu à la Révolution française, l’enseignement ne fut réorganisé qu’en 1824.
Avant la Révolution française, Thoissey disposait de trois chapelles. La première, située dans l’ancienne prison, était placée sous le vocable de sainte Croix. La seconde était celle des Pénitents et la dernière, celle des Ursulines. En 1710, quarante Ursulines résidaient dans un monastère fondé en 1704 à Thoissey.
Vieudrin, époux (cités en 1892-1893)
Son, François (cité en 1892-1893)
Poncet, Antoine (cité en 1836)
Lacroix, François (cité en 1836)
Jacquet, Antoine (garde de Revonnas ; cité en 1811)
Barrachin, Clément (cité en 1898 et 1901-1905)
Lapicotière, époux (cités en 1894-1895)
Barrachin, Jean-Claude (garde champêtre ; cité en 1862)
Constantin, Benoit (garde forestier et garde champêtre ; cité en 1852)
Faguet, François (cité en 1834 et 1837)
Berger, Jean-Claude (cité en 1846)
Berger, Julien (cultivateur ; cité en 1898)