Replonges, Mairie de (Ain, France)
- Collectivité
- 1790-2099
Replonges, Mairie de (Ain, France)
Syndicat intercommunal à vocation multiple pour l'aménagement du Val de Saône (Replonges, Ain)
Le Sivom « Association de communes pour l’aménagement du Val de Saône » a été constitué le 20 décembre 1990 dans le cadre de la création du canal de dérivation de la Saône. Né de l’association entre les communes de Crottet, Grièges, Replonges et Saint-Laurent-sur-Saône, il avait son siège dans la commune de Replonges et était présidé par Michel Voisin, maire de Replonges. Ses compétences portaient sur la gestion des digues, l’aménagement et la gestion des zones de remblais et les équipements sportifs et de loisirs.
Au cours de son existence, il a permis l’achat et la remise en état de deux sites industriels, « Le Bon Lait » et « Combier », qui étaient alors sinistrés. Il a également participé à divers projets ayant traits à l’aménagement de la Saône et entretenaient ses berges afin de lutter contre les crues.
Dissous le 31 décembre 2014, chaque commune membre a repris ses compétences.
Syndicat intercommunal à vocations multiples pour l'aménagement du Val de Saône (Replonges, Ain)
Le Sivom « Association de communes pour l’aménagement du Val de Saône » a été constitué le 20 décembre 1990 dans le cadre de la création du canal de dérivation de la Saône. Né de l’association entre les communes de Crottet, Grièges, Replonges et Saint-Laurent-sur-Saône, il avait son siège dans la commune de Replonges et était présidé par Michel Voisin, maire de Replonges. Ses compétences portaient sur la gestion des digues, l’aménagement et la gestion des zones de remblais et les équipements sportifs et de loisirs.
Au cours de son existence, il a permis l’achat et la remise en état de deux sites industriels, « Le Bon Lait » et « Combier », qui étaient alors sinistrés. Il a également participé à divers projets ayant traits à l’aménagement de la Saône et entretenaient ses berges afin de lutter contre les crues.
Dissous le 31 décembre 2014, chaque commune membre a repris ses compétences.
[Fevre], Michel (ancien membre de l'association Recherches Généalogiques de l'Ain, 1933-2021)
Communauté de communes Chalaronne-centre (Châtillon-sur-Chalaronne, Ain)
Au 1er janvier 2017, la CC fusionne avec les communautés de communes du Canton de Chalamont, Centre Dombes pour former la communauté de communes de la Dombes.
Saint-Maurice-de-Gourdans (Ain, France)
A l’origine de la commune, l’édification d’un prieuré bénédictin. Le seigneur Guichard d’Anthon remet par testament, vers 1130, la garde et l’avouerie à l’abbaye de Saint-Martin d’Ainay. Le nom primitif de la commune est Saint-Maurice d’Anthon. Les fondations de l’église romane, toujours élévation au centre-village, sont datées du XIIe siècle. Le début de la construction est estimé en 1111. En 1790, la commune est renommée Gourdans-la-Rivière jusqu'à la fin de la période Révolutionnaire. La commune appartient au canton de Meximieux depuis 1801.
Syndicat intercommunal des eaux de la région d'Ambérieu-en-Bugey (Ambérieu-en-Bugey, Ain)
Le Syndicat intercommunal des eaux de la région d’Ambérieu-en-Bugey a été crée en 1975, succédant au Syndicat intercommunal d’études des problèmes d’eau de la région d’Ambérieu-en-Bugey (1968-1975). Ainsi, le périmètre du nouveau syndicat est élargi et compte avec les communes d’Ambérieu-en-Bugey, Ambutrix, Bettant et Saint-Denis-en-Bugey. Cette nouvelle structure a poursuivi et élargi les compétences de l’ancien syndicat. Le but du nouveau syndicat est l’étude, la réalisation et l’exploitation d’un réseau collectif de distribution d’eau potable.
Dès 1978 le comité syndical débat de d’élargissement des compétences du syndicat aux questions d’assainissement. En 1985 le conseil syndicat vote l’élaboration d’une étude pour élargir les compétences à la gestion des réseaux d’assainissement des 4 communes membres du syndicat. Et, à partir de 1992 le syndicat établi un budget annexe en assainissement jusqu’au moment où cette compétence sera intégralement reprise par le STEASA en 2012.
L'établissement fusionne avec le STEASA à compter du 1er janvier 2025.
Syndicat intercommunal d’études des problèmes d’eau de la région d’Ambérieu (Ambérieu-en-Bugey, Ain)
Le Syndicat intercommunal d’études des problèmes d’eau de la région d’Ambérieu en Bugey a été créé par arrêté préfectoral du 12 mars 1968 et dissout par arrêté préfectoral du 16 mai 1975.
A sa dissolution en 1975 l’a succédé le Syndicat intercommunal des eaux de la région d’Ambérieu-en-Bugey.
Berthelet, Jean Louis (cité en 1861)
Cornaton (veuve) née Fourrat, Jeanne Hyacinthe (citée en 1831 et 1854-1857)
Garron de la Bévière, Jeanne Yolande Victorine (cité en 1849)
Nugues, Louis (cité en 1878-1879 et 1885)
Garron de la Bévière, époux (cités en 1835 et 1852)
Bardet, Pierre (cultvateur ; cité en 1886)
Paccoud, Benoit (cité en 1853 et 1868)
Thevenain, Antoine (cité en 1848 et 1852)
Guillon, Jean (cabaretier ; cité en 1821)
Chanin, Charles (cité en 1844-1846)
Chevallier, Joseph (cité en 1896)
Laurencin, sieur (cité en 1886)
Perrault, sieur (cité en 1884)
Garron de la Bévière, sieur (cité en 1858, 1872-1874 et 1884)
Guillon, Jean (1814-18.. ; cultivateur et maire de Sulignat de 1871 à 1874 et de 1876 à 1878)
Chabot, Antoine (boucher ; cité en 1908 et 1912)
Guillon, François (cité en 1855-1856)
Pelletier née Richou, Jeanne (citée en 1886)
[Nignat], Jean (conseiller municipal ; cité en 1832)
Garron de la Bévière, Marie Claudine (citée en 1852)
Deglétagne, Jean (hôtelier et boulanger ; cité en 1902-1926)
Très ancienne paroisse, Sulignat faisait partie de la Bresse sous le vocable de la Nativité de Notre Dame, puis devint savoyarde en 1272.
Sous la Révolution française, entre 1790 et 1795, la commune devient une municipalité du canton de Châtillon-les-Dombes, et dépendait du district de Châtillon-les-Dombes. Durant cette période, Châtillon-sur-Chalaronne absorbe également la commune, L'Abergement et Clémenciat. Tandis que ces deux derniers quittent Châtillon pour former L'Abergement-Clémenciat en 1857, Sulignat redevient une commune indépendante en 1809 (arrêté préfectoral du 15 avril 1809).
Durant la Seconde Guerre mondiale, un camp de maquisards portant le nom de Catane et formé par 75 hommes était installé dans les bois de Marmanant.
Plusieurs figures se détachent de l’histoire de Sulignat :
• Claude Jean-Baptiste Garron de la Bévière (1742-1811) : seigneur de Longes, de La Chassagne et de Brosses, chevalier de Saint-Louis, syndic général de la noblesse de Bresse et de Dombes. Il fut l'un des fondateurs de la Société d'Émulation et d'agriculture de l'Ain autorisée le 31 mai 1783. Il en devint le premier président. M. Garron s'occupait de questions agricoles. Ses communications importantes ont été publiées dans le Journal de l'Ain, et sont consignées dans les procès-verbaux de séances. Il fut également député aux États- Généraux en 1789.
• Jean-François Jolibois dit l’abbé Jolibois (1794-1875) : curé de Sulignat en 1820 et historien local. Il est l'auteur de plusieurs opuscules historiques et géographiques publiés par diverses sociétés savantes. Une rue de Trévoux porte son nom.
La commune de Vernoux fut créée à la Révolution française. Avant cette date, le territoire de cette commune dépendait en partie de la paroisse de Romenay (Saône-et-Loire) et en partie de la justice de Saint-Trivier-de-Courtes ; ce qui explique l’absence de documents anciens (antérieurs à la Révolution).
En 1852, par courrier adressé aux communes de Courtes et Vernoux, le Préfet de l’Ain propose la construction d’une nouvelle église avec son presbytère sur une parcelle du communal dit des Brosses situé sur la commune de Vernoux ainsi que d’une maison d’école commune et en un lieu central permettant ainsi aux deux communes de se réunir pour l’instruction des enfants et le culte. Refusé respectivement par les deux municipalités, le projet n’a pas abouti.
L’école communale ferme en 1972. Puis, en 1983, la commune se regroupe avec celle de Courtes en regroupement pédagogique intercommunal (RPI).
Association foncière de remembrement (Vernoux, Ain)
Association foncière de remembrement (Curciat-Dongalon, Ain)
La première mention du village semble remonter au XIIème siècle. Attignat et Vacagnole formaient une communauté distincte de Crangeat et de Jalamonde. Ces deux derniers ont formé une commune autonome en 1790. En l’an II, la commune englobe celle de Crangeat. En l’an III (novembre 1794), la commune d’Attignat naît.
En 1717, la ville a été le théâtre de combats féroces entre les Bressans et leurs cousins lyonnais qui voulaient s'emparer du coq d'or emblème hautement symbolique de la Bresse jusqu'au milieu du XVIIIe siècle. Ce fut Christophe Le Robin, à la tête de l'armée bressane, qui repoussa les Lyonnais dans leur terre derrière le Rhône.
Elle a été approuvée le 10 mai 1900 et a cessé toute activité depuis 1955. Elle est dissoute par arrêté préfectoral du 7 août 1970. Elle est formée entre les élèves et anciens élèves des écoles publiques et lycées, collèges, écoles primaires, écoles normales d’Attignat.
La Fraternelle - Société de secours mutuels d'Attignat n°283 (Ain)
Fournel dit Devers, Claude Benoît (militaire ; cité en 1888-1889)
Derriat, Pierre (curé d'Attignat ; cité en 1899 et 1903)
Béréziat, sieur (fermier au Bayardon ; cité en 1820-1911)
Manigand, sieur (cité en 1841)
Pomathiot, sieur (cité en 1867-1868)
Guillemot, sieur (cité en 1867-1868)
Guillemot, Joseph Marie (cité en 1869)
Brevet, Denis (boulanger ; cité en 1865)
Puvis, époux (cités en 1834-1836)