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Notices d’autorité

Philibert 2 le Beau (1480-1504 ; duc de Savoie)

  • FR28011201200016_NA_000001114
  • Personne
  • 1480-04-10/1504-09-10

Philibert II, dit le Beau, né au château de Pont-d'Ain (Ain, France) le 10 avril 1480, mort dans le même lieu le 10 septembre 1504, est duc de Savoie et prince de Piémont de 1497 à 1504.

Il passe une partie de son enfance à la Cour de France, auprès de son oncle maternel, Pierre de Bourbon-Beaujeu, époux d'Anne de France. Il participe aux guerres d'Italie au côté de Louis XII. En 1497, il succède à son père à la tête du duché de Savoie. Il épouse, en premières noces, le 12 mai 1496, sa cousine Yolande-Louise de Savoie, héritière de la branche aînée de la famille, Philippe II et Philibert appartenant à la branche cadette. Mais la jeune femme meurt très vite. Philibert, chasseur passionné, laisse le gouvernement de ses États à son demi-frère, René de Savoie (fils naturel de Philippe II) et passe son temps en occupations frivoles.

En 1501, il se remarie à Marguerite d'Autriche, fille de l’empereur Maximilien Ier du Saint Empire et marraine de Charles Quint. Fin octobre ou début novembre a lieu à Dole le mariage par procuration entre le duc, représenté par son demi frère René de Savoie, et Marguerite.

La vie de Philibert le Beau va être bouleversée par cette union. En effet, cette jeune et belle princesse de 21 ans va séduire son mari, prendre sur lui une grande influence, et Marguerite fera chasser René de Savoie, après un procès infamant. Afin de maintenir sa neutralité, Philibert II refuse aux Français en 1502 le passage par ses États pour pénétrer en Italie du nord ; les forces du roi de France empruntent alors les vallées contrôlées par le marquisat de Saluces, ce qui permet à la Savoie de rester à l'écart du conflit.

Philibert meurt en 1504, âgé seulement de 24 ans, après un refroidissement (pneumonie) attrapé durant une partie de chasse (à laquelle il avait voulu participer, bien que grippé, en dépit de l'avis contraire de son épouse l'archiduchesse Marguerite d'Autriche). Il laisse le duché de Savoie à son demi-frère Charles II.

Marguerite d'Autriche fait construire l'église de Brou, en hommage à son mari, dans laquelle elle l'enterre avec sa mère Marguerite de Bourbon. Son cœur est déposé dans l'église de Pont-d'Ain. Cette dernière est détruite lors d'une crue en 16232.

Passin (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000533
  • Collectivité
  • 1790/1973

Entre 1790 et 1794, elle absorbe la commune la commune de Chemilieu-Poisieu.

Le 1er janvier 1973, la commune de Passin fusionne avec Champagne et lilignod pour former Champagne-en-Valromey.

Orléans, Charlotte d’ (1512-1549 ; duchesse de Nemours)

  • FR28011201200016_NA_000000028
  • Personne
  • 1512-11-01/1549-09-08

Elle épouse le 17 septembre 1528 Philippe de Savoie (1490-1533), comte de Genève (1514-1533), duc de Nemours (1515-1533), comte de Faucigny.
Elle donne naissance le 12 octobre 1531 à Jacques de Savoie, comte puis duc de Genève, duc de Nemours. En 1532, elle donne naissance à Jeanne de Savoie.
En 1537, elle est encore tutrice de son fils Jacques de Savoie.

Ordonnaz (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000893
  • Collectivité
  • 1790/2099

A l’origine, Ordonnaz fut d’abord habitée par des religieux, avec l’installation du prieuré de Saint-Ruf vers le XIe siècle. En raison d’un trop faible nombre de religieux, les chanoines de Saint-Ruf installèrent des femmes à leur place en 1222 malgré l’opposition des chartreux de Portes, mais le pape Honorius III les fit expulser l’année suivante.

Le village proprement dit obtient une charte de franchise en 1337 par le comte Aymon de Savoie. Ordonnaz, de plus dotée de murs et de tours, est alors qualifié de ville.

Sous l’Ancien Régime, Ordonnaz dépendait de la seigneurie de Bugey jusqu’à sa franchise en 1337 avant d’être annexée plus tardivement au comté de Groslée, et, juridiquement, de l’élection et subdélégation de Belley et du mandement de Rossillon.

L’église Saint-Antoine était une annexe de la paroisse de Rossillon (diocèse de Belley).

Oncieu (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000739
  • Collectivité
  • 1790/2099

Durant l’Ancien Régime, Oncieu était une communauté appartenant à la juridiction de Belley et au mandement de Saint-Rambert. Son église paroissiale était une annexe de la paroisse d’Evoges, dans le diocèse de Belley. Les terres d’Oncieu furent érigées en marquisat après avoir été intégrées dans la seigneurie des abbés de Saint-Rambert.

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