Cordier, Émilie (épouse Carizet ; citée en 1895-1896)
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- Personne
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Cordier, Émilie (épouse Carizet ; citée en 1895-1896)
Cordier, frères et soeurs (cités en 1740 et 1780)
Cordier, Philibert (cité en 1613-1618)
Corrand née Meilloz, Denise (citée en 1650)
Corrand, François (marchand bourgeois de Mâcon ; cité en 1650)
Cortois de Quincey, Gabriel (1714-1791 ; évêque de Belley)
Coudery, Pierre Nicolas (curé de Curciat-Dongalon ; cité en 1775)
Paroisse parmi les plus anciennes des environs, il y avait dès 950/970, un curé résidant desservant la chapelle primitive de Saint-Hilaire.
Cras-sur-Reyssouze (Ain, France)
Sous l’Ancien Régime, le village de Craz dépendait de la seigneurie de Bognes et, juridiquement, du bailliage et de l’élection de Belley, de la subdélégation de Nantua et du mandement de Seyssel.
Génissiat a toujours été un hameau, tout d’abord de Craz-en-Michaille puis, dès 1827, d’Injoux. L’église Saint-Martin est une annexe de l’église paroissiale d’Injoux.
Crétin, Jean Marie Eugène (cité en 1895-1900)
Crollet, Anne-Marie (veuve Brunet ; cité en 1687)
Cuéni, Marie Anne (épouse Oser ; citée en 1908)
Comme d'autres villages du Revermont, Cuisiat fut victime de la barbarie nazie le 18 juillet 1944. Plusieurs habitants furent déportés, une partie du village brûlé par les troupes du Reich en représailles des actes de résistance commis dans la région.
La commune fusionne avec Treffort le 1er décembre 1972 pour former Treffort-Cuisiat.
Curciat-Dongalon (Ain, France)
Mentionnée dès le Xème siècle, Curciat-Dongalon devient l’une des communes du canton de Saint-Trivier-de-Courtes en 1790. Au fil des années, la commune devient une petite bourgade avec un notaire, un médecin et de nombreux artisans et commerçants. Vers 1920, la commune compte six épiciers, une quinzaine d’artisans dont certains spécialistes du meuble bressan, plusieurs moulins en fonction ainsi qu’une fabrique de tuiles. Actuellement, c’est une commune principalement agricole.
Curtet, Joseph (curé ; cité en 1868-1934)
Dagallier, sieur (cité en 1872)
Danancher, Alexandre (ouvrier maçon ; cité en 1902-1903 et 1906)
Danancher, Hyppolyte (cité en 1890)
Danancher, sieur (cité en 1842)
David, Jean-Baptiste (cité en 1890)
De La Serve (propriétaire du moulin de la Besace ; cité en 1854)
De La Teyssonnière, Claude François (écuyer et seigneur de Dommartin ; cité en 1672)
De Parseval, Augustin Louis (propriétaire rentier de Pont-de-Veyle ; cité en 1829)
De Saint Sulpice, Pierre Joseph (cité en 1847-1848)
De Veyle, Claude Marie (cité en 1827-1838)
De Vogué (propriétaire du moulin de la Haute-Serve ; cité en 1811)
Décher, Antoine (cité en 1865)
Deglétagne, Jean (hôtelier et boulanger ; cité en 1902-1926)
Delabalme, Benoît (syndic de Tossiat ; cité en 1616)
Déléa (syndic de Bourg-en-Bresse ; cité en 1596)
Demarais (curé de Tossiat ; cité en 1741)
Demons dit Curtil, Jean (cabaretier ; cité en 1844)
Déromaz, Alphonse (cité en 1877)
Derriat, Pierre (curé d'Attignat ; cité en 1899 et 1903)
Derriaz, Marie (citée en 1908-1909)
Des Monstiers de Mérinville, René (1742-1829 ; évêque)
René des Monstiers de Mérinville est né le 1er juillet 17421, au château d'Auby (Limoges), en Limousin.
Il entre dans les ordres et devient prieur d'Auby.
Parallèlement à sa charge épiscopale, il occupe la charge de conseiller d'honneur au parlement de Bourgogne, à Dijon, puis est élu député du clergé aux États généraux, pour le bailliage de Dijon, du 7 avril 1789 au 30 octobre 1791. Il signe, le 9 avril 1790, avec vingt-neuf autres députés issus du clergé le texte Exposition des principes sur la Constitution civile du clergé. Il refuse, le 27 novembre suivant de prêter serment à la Constitution civile du clergé. Il émigre et ne revient qu'en 1800. Durant cette période, il conserve son titre épiscopal mais, étant émigré et réfractaire, l'administration du diocèse de Dijon revient à un évêque constitutionnel, Jean-Baptiste Volfius.
René des Monstiers de Mérinville s'éteint le 11 juillet 18291, à Versailles.
Descombes, Benoît (sergent voltigeur au 30e régiment de ligne ; cité en 1810)