Rambert, Louis (colporteur ; cité en 1893)
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- Personne
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Rambert, Louis (colporteur ; cité en 1893)
Ranau (cité en l'an III ; notaire)
En 1790, la paroisse de Rancé est érigée en commune.
Ravier, Étienne (notaire royal ; cité en 1698)
Ravier, Jean-Louis (cité en 1788)
Reboul, Charles (1852-1930 ; docteur et médecin)
Docteur et chef de travaux à la faculté de Lyon, il publia de nombreux ouvrages médicaux et passait chaque année ses vacances à Curciat. En 1912, il publia Un curé en Bresse pendant la Révolution.
Régie départementale de transport de l’Ain (Bourg-en-Bresse, Ain)
La régie départementale des tramways de l’Ain est créée en avril 1918 par le département de l’Ain pour assurer l’exploitation du réseau de l’ancienne Compagnie des Tramways de l’Ain. Dès 1932, le conseil général décide des premières suppressions du service ferroviaire du réseau de la RDTA et de son remplacement par une desserte en autocars. En 1939, le réseau ferroviaire des tramways de l’Ain se limite au lignes électrifiées qui finissent par disparaître entre 1951 et 1954.
Religieux de Saint-Rambert (Ain)
Renaudat, Jean (cité en 1895-1898)
Renoud-Grappin, Marie Joseph (propriétaire ; cité en 1881-1882)
Repp[en], Philibert (fermier de Laumusse ; cité en 1592)
Reynaud, Joseph (marchand de vin ; cité en 1839)
L’ancienne paroisse de Gorrevod (à laquelle appartenait le hameau de Reyssouze) dépendait de l’archevêché de Mâcon. Le toponyme, Avittes, identifie un ancien hameau de la commune de Reyssouze ; il apparaît régulièrement dans cet inventaire et il est répertorié par le Dictionnaire topographique du département de l'Ain, d'Edouard Philipon (1911) : AVITTES, h., cne de Reyssouze. — In pago Lugdunense, in fine Vallis, in villa que dicitur Avistas, 996-1018 (Cartul. de Saint-Vincent de Màcon, n° 370). — Avittes, parrochie de Gorrevodo, 1439 (arch. de l'Ain, H 792, f° 579 v°). — Avites, 1494 (ibid.,H 797, f° 156 v°).
La commune de Reyssouze a été crée en 1845 par ordonnance royale du 8 mai. Auparavant elle n’était qu’un hameau de la commune de Gorrevod.
[Ribaud], Louis (laboureur, syndic et procureur de Grièges ; cité en 1660, 1678 et 1690)
Riche, Jacques Joseph (maire de Dommartin de 1852 à 1870 ; 1788-18..)
Riche, sieur (cité en 1853-1855)
Rion, Jean-Baptiste (cité en 1849, 1855 et 1865)
Robin, Élie (cité en 1914 ; secrétaire de mairie de Vandeins)
Robin, Jean-Christophe (cité en 1812)
Roche, Joseph (meunier ; cité en 1915)
Rodrigue (abbé et curé ; cité en 1914)
Roland, Pierre Joseph (cité en 1858)
Rollet, Antoine (cité en 1888-1889)
Rollet, Jean Baptiste (cité en 1870)
Romant, Eugénie (citée en 1873-1880 et 1895-1896)
Romant, Jules Jean-Baptiste (contrôleur principal ; cité en 1889)
Rousseau, sieur (propriétaire du Moulin de Praz ; cité en 1847)
Rousset (veuve) née Jacquet, Benoitte (citée en 1740 et 1780)
Rousset, Benoît (cité en 1852)
Rousset, Claude Joseph (régisseur ; cité en 1828)
Rude, Barthélémy (laboureur ; cité en 1789-1790)
Le territoire de la commune de Ruffieu est situé entre la vallée du Séran et le col de la Rochette. Elle se compose de trois petits hameaux portant les noms de Bouchet-Guillon, Petit Village, les Sarraz. Les fermes ou habitations isolées s’appellent : Bornarel, Bucle-Loup, Châtelard, les Chavannes, l’Etanche, Préoux, Rière-Buisson, Sapel ou Sapet, les Sées, Serpolesses.
En 1789, Ruffieu était une communauté de l'élection et subdélégation de Belley, mandement de Valromey et justice du marquisat de ce nom. Son église paroissiale, diocèse de Genève, archiprétré du Haut-Valromey, était sous le vocable de Saint Didier et la protection de la Circoncision. A l'époque intermédiaire, Ruffieu était une municipalité du canton de Songieu, district de Belley.
Sain, Paul (172.-.... ; seigneur de Lacouz)
Il devient en 1767 seigneur de Lacouz, Montfalcon, Chaley, Saillans et la Bertinière ; puis baron de Senevas, Saint-Romain-en-Jarrest, Chagnon, Valfleurie le 12 juillet 1769. II épouse Jeanne Bruyset de Sainte-Marie, le 9 janvier 1753.
Saint Virbar, de (citée en 1829-1830)
Au cours des siècles passés, les habitants du « bas » de Saint-Bénigne eurent peu d’activités communes avec ceux du « haut » du village. Ils étaient davantage attirés par Pont-de-Vaux, le centre commercial et administratif, ou par le Mâconnais d’où venait la pierre indispensable pour la construction des bâtiments et qui achetait le foin de la prairie. Sans doute ces relations avec la rive droite de la Saône avaient-elles été favorisées dès le Moyen-Age par les possessions, sur la rive gauche, de l’abbaye de Tournus et de certaines communautés telles que Montbellet et Saint-Oyen. La Révolution y mit fin, sans que changent d’autres traditions ancrées depuis des siècles de Ternant à Chamerande : la vaine pâture en prairie, la préférence du moulin de Pont-de-Vaux à celui de Montrin, parfois le choix de l’église de Pont-de-Vaux, moins éloignée que celle de la paroisse. Pendant des siècles, Saint-Bénigne garda donc deux bourgs, animés par les artisans et les commerçants.
Il faut attendre le milieu du 19ème siècle pour que se manifeste la volonté d’unification de la commune avec la création d’un groupe scolaire entre ces deux bourgs. Il faut un siècle de plus pour que disparaissent, par exemple, les deux sections de vote le jour des élections ou les assurances différentes pour le bétail du « haut » et celui du « bas » de Saint-Bénigne.
Au cours de la dernière guerre, Saint-Bénigne, fut un haut-lieu de la Résistance. Certaines fermes étaient des points d’accueil pour les combattants. L’abbé Victor Langard fut l’un des héros. Une plaque apposée sur le mur du presbytère en 2006 rappelle son activité clandestine.
Par un arrêté préfectoral du 23 novembre 2018, Saint-Champ est absorbée par Magnieu le 1er janvier 2019.
Saint-Denis-en-Bugey (Ain, France)
Saint-Denis-le-Chosson prit le nom de Saint-Denis-en-Bugey par arrêté en 1895.
Saint-Denis-lès-Bourg (Ain, France)