Rambert, Louis (colporteur ; cité en 1893)
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- Person
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Rambert, Louis (colporteur ; cité en 1893)
Bachet, Antoine (cité en 1852)
Rollet, Antoine (cité en 1888-1889)
Romant, Eugénie (citée en 1873-1880 et 1895-1896)
Berrod, Anthelme (curé de Tossiat ; cité en 1841-1845)
Jolivet, Joseph (cité en 1822)
Lamoret, époux (cités en 1879)
Bonnet, Joseph (cité en 1881-1882)
Crétin, Jean Marie Eugène (cité en 1895-1900)
Au Xe siècle, le village de Thoissey dépendait de l’abbaye de Cluny. Trois siècles plus tard, Humbert V de Beaujeu en était le seul seigneur. En 1310, son successeur Guichard VI accorda une charte de franchise aux habitants. Celle-ci fut confirmée jusqu’en 1658 par la Grande-Mademoiselle, princesse des Dombes.
Un collège fut fondé en 1680 par Philibert Girié, prêtre et docteur en théologie, et plusieurs autres prêtres. Le collège était composé d’anciens bâtiments scolaires donnés par Étienne Pole, bourgeois de Thoissey. En 1684, l’archevêque de Lyon Camille de Neuville permit au collège de disposer d’une chapelle particulière. Une imprimerie composait aussi le paysage thoisseyien à partir de 1696. En 1701, un hôpital fut construit. Suspendu à la Révolution française, l’enseignement ne fut réorganisé qu’en 1824.
Avant la Révolution française, Thoissey disposait de trois chapelles. La première, située dans l’ancienne prison, était placée sous le vocable de sainte Croix. La seconde était celle des Pénitents et la dernière, celle des Ursulines. En 1710, quarante Ursulines résidaient dans un monastère fondé en 1704 à Thoissey.
Ducruix, Marie Benoite (citée en 1822)
Berger, Joseph (vigneron et luminier ; cité en 1786)
Braidy, Jean (vigneron et luminier ; cité en 1786)
Thiélan, Antoine (raboteur à l'arsenal militaire de Lyon ; cité en 1887 et 1910)
Barachin (capitaine électif de la garde de Journans ; cité en 1838)
« L’histoire du Montellier demeure liée à celle du château qui exerçait la justice sur le village et les environs. Du XIIème au XVIIIème siècle, la châtellenie du Montellier était l’une des plus étendue de la Dombes. De l’ancien village bâti autour du château il subsiste les fermes et l’imposant édifice construit en carrons sur une poype, cette élévation de terre typique en Dombes.
La commune a été, et est toujours, le lieu de résidence de personnalités célèbres. Citons Jacqueline de Montbel (1541-1599), Gabriel Greppo (propriétaire foncier et agronome), son fils grand vicaire, Marius Berliet (1866-1949) et son fils Paul, ou encore Paul Bocuse.
Gaudin, Philippe (cité en 1874)
Constantin, Louis Eugène (cité en 1898)
Faguet, François (cité en 1834 et 1837)
Tout au long de son histoire, la commune se développe grâce au pont qui traverse l’Ain et à son château. Construit primitivement par les sieurs de Coligny, le château appartenait à partir du XIIIème siècle aux comtes de Savoie. C’est à cette période qu’Amédée V concéda une charte de franchises à la commune (21 avril 1319). Un atelier de frappe de monnaie est crée après l’octroi de la charte. Pont-d’Ain se développe grâce à ces privilèges et au commerce des grains qui se faisait par le pont situé au pied du château.
Sur le plan cadastral de 1808 (1G1), on constate que les habitations de la commune étaient davantage implantées autour de l’église et du château, sur la route d’Oussiat. Seulement quelques maisons étaient édifiées près du carrefour des Quatre-Vents. Pendant la Seconde Guerre Mondiale, ce même carrefour -bien plus étoffé d’édifications- fut bombardé le 31 août et 1er septembre 1944, causant l’incendie de plusieurs maisons et beaucoup de dégâts. Les travaux de reconstruction d’après guerre se prolongent sur plusieurs années (4H5).
Vieudrin, époux (cités en 1892-1893)
Arod, Benoit (cité en 1854-1855)
Perret, Louis Paul (instructeur du bataillon scolaire de Journans ; cité en 1884)
De Vogué (propriétaire du moulin de la Haute-Serve ; cité en 1811)
De La Serve (propriétaire du moulin de la Besace ; cité en 1854)
Bellay, Marie-Rose (veuve Fleury ; citée en 1901-1902)
Frèrejean, Françoise (épouse Lorin ; 1796-1853)
Veuve d’Antoine Lorin et décédée sans héritier direct, elle lègue une partie de ses biens à la commune d'Illiat : un local pour une école de filles, un terrain pour un nouveau cimetière, de l’argent pour les indigents, etc. En 1853, elle a également légué à la ville de Bourg-en-Bresse une importante collection de tableaux des écoles françaises et flamandes estimée à 5 500 francs à l’époque et une collection de sculptures et pièces de mobilier. Ce legs est à l'origine du musée de Brou actuel (Musée Lorin de 1854 à 1922).
Descombes, Benoît (sergent voltigeur au 30e régiment de ligne ; cité en 1810)
Desprez, Joseph (cabaretier ; cité en 1846 et 1857)
Genillon, Michel (cité en 1791)
Bayle (maître boucher ; cité en 1845)
Gautier, Joseph (cité en 1852-1887)
Barret, Anne (journalière ; citée en 1846)
Lambert, Louis Isidore (cité en 1831)
Terre éponyme d'une vieille famille liée aux comtes de Pont-de-Vaux, par le Cardinal Louis de Gorrevod (1473-1535) au XVIe siècle. La commune lui doit son blason d'azur au chevron d'or.
En 1845, la partie ouest du territoire est détachée pour donner la commune de Reyssouze.
Cantine scolaire et sou des écoles laïques (Illiat, Ain)
Sous l’Ancien Régime, Pollieu faisait partie du bailliage, de l’élection et de la subdélégation de Belley et du mandement de Rossillon, et dépendait de la baronnie de Rochefort.
L’église de Pollieu est placée sous le vocable de Saint Pierre, sous la dénomination de Saint-Pierre-ès-Liens.
Plusieurs personnes liées à Pollieu ont eu une certaine notoriété :
• Pierre de l’Espine (vers 1465-1526), écuyer de la duchesse de Savoie Marguerite d’Autriche à Chambéry puis à Malines, puis châtelain de Sanvignes et portier de la grande saline de Salins. Il est enterré dans l’église de Pollieu ;
• Marguerite Chevrier, épouse du précédent, femme de chambre de Marguerite d’Autriche. Veuve de Pierre de l’Espine, elle épouse en 1531 Antoine de Rossillon, seigneur de Beauretour ;
• Jean-Emmanuel Ducoin (1966-), rédacteur en chef de L’Humanité, journaliste et écrivain, originaire du village et possédant une maison à Leyzieu.