Braidy, Jean (vigneron et luminier ; cité en 1786)
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- Person
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Braidy, Jean (vigneron et luminier ; cité en 1786)
Thiélan, Antoine (raboteur à l'arsenal militaire de Lyon ; cité en 1887 et 1910)
Barachin (capitaine électif de la garde de Journans ; cité en 1838)
« L’histoire du Montellier demeure liée à celle du château qui exerçait la justice sur le village et les environs. Du XIIème au XVIIIème siècle, la châtellenie du Montellier était l’une des plus étendue de la Dombes. De l’ancien village bâti autour du château il subsiste les fermes et l’imposant édifice construit en carrons sur une poype, cette élévation de terre typique en Dombes.
La commune a été, et est toujours, le lieu de résidence de personnalités célèbres. Citons Jacqueline de Montbel (1541-1599), Gabriel Greppo (propriétaire foncier et agronome), son fils grand vicaire, Marius Berliet (1866-1949) et son fils Paul, ou encore Paul Bocuse.
Gaudin, Philippe (cité en 1874)
Constantin, Louis Eugène (cité en 1898)
Faguet, François (cité en 1834 et 1837)
Tout au long de son histoire, la commune se développe grâce au pont qui traverse l’Ain et à son château. Construit primitivement par les sieurs de Coligny, le château appartenait à partir du XIIIème siècle aux comtes de Savoie. C’est à cette période qu’Amédée V concéda une charte de franchises à la commune (21 avril 1319). Un atelier de frappe de monnaie est crée après l’octroi de la charte. Pont-d’Ain se développe grâce à ces privilèges et au commerce des grains qui se faisait par le pont situé au pied du château.
Sur le plan cadastral de 1808 (1G1), on constate que les habitations de la commune étaient davantage implantées autour de l’église et du château, sur la route d’Oussiat. Seulement quelques maisons étaient édifiées près du carrefour des Quatre-Vents. Pendant la Seconde Guerre Mondiale, ce même carrefour -bien plus étoffé d’édifications- fut bombardé le 31 août et 1er septembre 1944, causant l’incendie de plusieurs maisons et beaucoup de dégâts. Les travaux de reconstruction d’après guerre se prolongent sur plusieurs années (4H5).
Vieudrin, époux (cités en 1892-1893)
Arod, Benoit (cité en 1854-1855)
Perret, Louis Paul (instructeur du bataillon scolaire de Journans ; cité en 1884)
De Vogué (propriétaire du moulin de la Haute-Serve ; cité en 1811)
De La Serve (propriétaire du moulin de la Besace ; cité en 1854)
Bellay, Marie-Rose (veuve Fleury ; citée en 1901-1902)
Frèrejean, Françoise (épouse Lorin ; 1796-1853)
Veuve d’Antoine Lorin et décédée sans héritier direct, elle lègue une partie de ses biens à la commune d'Illiat : un local pour une école de filles, un terrain pour un nouveau cimetière, de l’argent pour les indigents, etc. En 1853, elle a également légué à la ville de Bourg-en-Bresse une importante collection de tableaux des écoles françaises et flamandes estimée à 5 500 francs à l’époque et une collection de sculptures et pièces de mobilier. Ce legs est à l'origine du musée de Brou actuel (Musée Lorin de 1854 à 1922).
Descombes, Benoît (sergent voltigeur au 30e régiment de ligne ; cité en 1810)
Desprez, Joseph (cabaretier ; cité en 1846 et 1857)
Genillon, Michel (cité en 1791)
Bayle (maître boucher ; cité en 1845)
Gautier, Joseph (cité en 1852-1887)
Barret, Anne (journalière ; citée en 1846)
Lambert, Louis Isidore (cité en 1831)
Terre éponyme d'une vieille famille liée aux comtes de Pont-de-Vaux, par le Cardinal Louis de Gorrevod (1473-1535) au XVIe siècle. La commune lui doit son blason d'azur au chevron d'or.
En 1845, la partie ouest du territoire est détachée pour donner la commune de Reyssouze.
Cantine scolaire et sou des écoles laïques (Illiat, Ain)
Sous l’Ancien Régime, Pollieu faisait partie du bailliage, de l’élection et de la subdélégation de Belley et du mandement de Rossillon, et dépendait de la baronnie de Rochefort.
L’église de Pollieu est placée sous le vocable de Saint Pierre, sous la dénomination de Saint-Pierre-ès-Liens.
Plusieurs personnes liées à Pollieu ont eu une certaine notoriété :
• Pierre de l’Espine (vers 1465-1526), écuyer de la duchesse de Savoie Marguerite d’Autriche à Chambéry puis à Malines, puis châtelain de Sanvignes et portier de la grande saline de Salins. Il est enterré dans l’église de Pollieu ;
• Marguerite Chevrier, épouse du précédent, femme de chambre de Marguerite d’Autriche. Veuve de Pierre de l’Espine, elle épouse en 1531 Antoine de Rossillon, seigneur de Beauretour ;
• Jean-Emmanuel Ducoin (1966-), rédacteur en chef de L’Humanité, journaliste et écrivain, originaire du village et possédant une maison à Leyzieu.
Société scolaire fruitière de Vandeins (Ain)
Cuéni, Marie Anne (épouse Oser ; citée en 1908)
Syndicat intercommunal à vocation sportive des 3 Bâgé-Dommartin (Bâgé-le-Châtel, Ain)
Dupuget, Jean (écuyer ; cité en 1672)
Fontaine, Denis (laboureur ; cité en 1789-1790)
Pelletier, Louis (cité en 1843)
Manigand, Jean-Baptiste (cité en 1899-1903)
Renoud-Grappin, Marie Joseph (propriétaire ; cité en 1881-1882)
Brunot (instituteur; cité en 1884)
Amédé 5 le Grand (1249-1323 ; duc de Savoie)
Amédée V de Savoie dit « le Grand », né en 1249 au château du Bourget et mort à Avignon le 16 octobre 1323, est comte de Savoie (1285-1323), prince d'Empire.
Goux, Claude (cité en 1837-1921)
Centre médico-scolaire de Seyssel (Seyssel, Ain)
Hospice de Seyssel (Seyssel, Ain)
Hôpital intercommunal de Seyssel (Seyssel, Ain)
En 1876, le 1er octobre, Monsieur Joseph Edouard Victor Masse, né en 1815, rédige son testament. Il lègue à la ville de Seyssel (Ain et Haute-Savoie) par l’intermédiaire d’un légataire (Mr V.), les biens en argent qu’il a lui-même hérités de sa sœur Lucie Masse, morte en 1870, ses propres biens en argent, soit en tout, la somme de 180.000 francs qui représente des titres de rentes françaises à 3% rapportant 3 063 francs annuels, à 5% rapportant 1 850 francs annuels, des obligations du canal de Suez, du chemin de fer russe, du chemin de fer de Paris, des lits militaires, les biens mobiliers et immobiliers reviennent à Monsieur Vericel. En contrepartie, Seyssel doit s’occuper des pauvres et de la paroisse par une rente de 400 francs et 600 frans annuels à perpétuité et doit fonder un petit hôpital. Le 4 juin 1879, le legs sera officiellement délivré à Seyssel par le président de la République : Jules Grévy. Mais, il faudra attendre le 8 mai 1882 pour que les communes reçoivent enfin le legs, car le testament fût attaqué par les héritiers des Masse et parce que le légataire, Monsieur Véricel, qui pouvait attendre 6 mois avant de procéder au legs a fait transférer certaines obligations et avec les intérêts il a acheté une rente sur l’état français. En fin, parce qu’à la naissance de Lucie Masse, Seyssel Ain et Seyssel Haute-Savoie étaient une seule commune mais au moment du legs les deux Seyssel étaient séparés. Seyssel Ain refusait de reconnaître que Seyssel Haute-Savoie avait droit à la moitié du legs. Le tribunal accorda finalement à Seyssel Haute Savoie le bénéfice du legs.
En novembre 1986, Seyssel Haute-Savoie abandonne pour le franc symbolique ses droits au profit de Seyssel Ain, qui sera à cette date seule propriétaire de l’hôpital. Un hôpital n’ayant plus de raison d’être et la somme de 180.000 francs, par évolution économique, ne représentant plus rien en commun avec la réalité et ne pouvant plus permettre d’exécuter dignement les volontés testamentaires des M, sur demande de la commune le 31 décembre 1986 la direction départementale des affaires sanitaires et sociales décrète par un arrêté que « l’hôpital intercommunal des 2 Seyssel est supprimé, les biens de l’établissement sont dévolus au bureau d’aide sociale de Seyssel.
Joly, Jean Philibert (cité en 1854)