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Notices d’autorité

Courtes (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000001153
  • Collectivité
  • 1790/2099

Paroisse parmi les plus anciennes des environs, il y avait dès 950/970, un curé résidant desservant la chapelle primitive de Saint-Hilaire.

Crans (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000541
  • Collectivité
  • 1790/2099

Craz (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000547
  • Collectivité
  • 1790/1972-12-31

Sous l’Ancien Régime, le village de Craz dépendait de la seigneurie de Bognes et, juridiquement, du bailliage et de l’élection de Belley, de la subdélégation de Nantua et du mandement de Seyssel.

Génissiat a toujours été un hameau, tout d’abord de Craz-en-Michaille puis, dès 1827, d’Injoux. L’église Saint-Martin est une annexe de l’église paroissiale d’Injoux.

Crozet (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000542
  • Collectivité
  • 1790/2099

Cuisiat (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000603
  • Collectivité
  • 1790/1972-11-30

Comme d'autres villages du Revermont, Cuisiat fut victime de la barbarie nazie le 18 juillet 1944. Plusieurs habitants furent déportés, une partie du village brûlé par les troupes du Reich en représailles des actes de résistance commis dans la région.

La commune fusionne avec Treffort le 1er décembre 1972 pour former Treffort-Cuisiat.

Curciat-Dongalon (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000001122
  • Collectivité
  • 1790/2099

Mentionnée dès le Xème siècle, Curciat-Dongalon devient l’une des communes du canton de Saint-Trivier-de-Courtes en 1790. Au fil des années, la commune devient une petite bourgade avec un notaire, un médecin et de nombreux artisans et commerçants. Vers 1920, la commune compte six épiciers, une quinzaine d’artisans dont certains spécialistes du meuble bressan, plusieurs moulins en fonction ainsi qu’une fabrique de tuiles. Actuellement, c’est une commune principalement agricole.

Des Monstiers de Mérinville, René (1742-1829 ; évêque)

  • FR28011201200016_NA_000001111
  • Personne
  • 1742-07-01/1829-11-12

René des Monstiers de Mérinville est né le 1er juillet 17421, au château d'Auby (Limoges), en Limousin.

Il entre dans les ordres et devient prieur d'Auby.

Parallèlement à sa charge épiscopale, il occupe la charge de conseiller d'honneur au parlement de Bourgogne, à Dijon, puis est élu député du clergé aux États généraux, pour le bailliage de Dijon, du 7 avril 1789 au 30 octobre 1791. Il signe, le 9 avril 1790, avec vingt-neuf autres députés issus du clergé le texte Exposition des principes sur la Constitution civile du clergé. Il refuse, le 27 novembre suivant de prêter serment à la Constitution civile du clergé. Il émigre et ne revient qu'en 1800. Durant cette période, il conserve son titre épiscopal mais, étant émigré et réfractaire, l'administration du diocèse de Dijon revient à un évêque constitutionnel, Jean-Baptiste Volfius.

René des Monstiers de Mérinville s'éteint le 11 juillet 18291, à Versailles.

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