Jacqueroux, Joseph (cité en 1895)
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- Person
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Jacqueroux, Joseph (cité en 1895)
Buchaille, jeune (cité en 1899)
Saint-Denis-lès-Bourg (Ain, France)
Ferreol-Bouvier, Joseph Antoine (cité en 1853 et 1855)
Rion, Jean-Baptiste (cité en 1849, 1855 et 1865)
Clair, Jean-François (propriétaire ; cité en 1854-1856)
Estienne, Louis Nicolas Lucien (notaire et maire de Saint-Bénigne de 1860 à 1868 ; cité en 1872)
Guépy (veuve) née Ravier, Marie Claudine Clarisse (citée en 1896-1897)
Parnet Morel, Pierre Marie (cité en 1879)
Danancher, Alexandre (ouvrier maçon ; cité en 1902-1903 et 1906)
Magnin, Jean (curé de Pont-de-Vaux ; cité en 1912-1913)
Caisse locale de la mutuelle incendie (Saint-Bénigne, Ain)
Sous l’Ancien Régime, la paroisse relève du marquisat et mandatement de Valromey. Les revenus de la paroisse de Virieu-le-Petit étaient composés d’une rente noble et de quelques droits seigneuriaux du seigneur de Chateaux-Morant (environ 2000 livres de rente). La justice était exercée par les seigneurs Les Clermont-Mont-Saint-Jean, disposant d’un fief à Virieu-le-Petit. L’église paroissiale était sous le vocable de saint Appolinaire. Le droit de collation à la cure confirmé en 1198 aux prieurs de Nantua passa aux mains des évêques de Genève .
D’après les notices collectées par l’intendant Bouchu entre 1665 et 1670, la population, environ 86 personnes, ne disposait de nul commerce, ni rivière, ni pont ni passage. Les champs étaient semés de froment blondé, seigle, orge et avoine. Le quart des terres était inculte ou abandonné. Les villageois étaient réputés extrêmement pauvres, n’ayant ni péages ni octrois ni charges ordinaires et pour tous les biens communaux un four « à cuire leurs pâtes ».
La commune fusionne le 1er janvier 2019 avec les communes de Brénaz, Lochieu et Chavornay pour former la commune nouvelle d'Arvière-en-Valormey.
Syndicat intercommunal d’électricité d'Attignat (Attignat, Ain)
Centre de loisirs Les P'tits Futés (Attignat, Ain)
Chanel, Prosper (boucher ; cité en 1911)
Vernay (veuve) née Greffet, Claudine (citée en 1905-1907)
Tonnard, sieur (cité en 1856-1863)
L'Abergement-Clémenciat (Ain, France)
La commune de L’Abergement-Clémenciat a été fondée par décret du 10 juin 1857 à partir de deux paroisses dépendantes de Châtillon-sur-Chalaronne : L’Abergement et Clémencia.
Les deux paroisses deviennent communes en 1790 mais furent rattachées dès l’an II (1794) à Châtillon car suite au départ des nobles et des prêtres, il n’y eut personne pour assurer correctement les fonctions municipales. En 1808, L’Abergement redevient une paroisse.
En 1857, est créée la nouvelle commune de « l’Abergement-Clémencia ». Au début, il fut proposé de dénommer cette commune « L’Ordre ». A l’initiative d’Elisée Munet, dont le père possédait une vaste propriété acquise en 1829 et construite par le sieur De Veyle devant la porte d’entrée du Vieux Bourg, un nouveau village se créé de toute pièce en 1862 entre les deux communes sur le site de « Munetville ». En juin de la même année, cette nouvelle commune perd le hameau des Bâgés au profit de Baneins. Le nouveau village fut inauguré en 1868 et l’ancien, abandonné devint le « Vieux Bourg [1] ».
Le premier maire fut Antoine-Elisée Munet (1857-1881). Son fils, Melchior Munet lui succéda de 1892 à 1912, puis le fils de celui-ci, Elisée Munet (1912-1945). Le petit-fils de Melchior Munet, Elisée Munet fut 1er adjoint au maire de 1971 à 1997 et conseiller municipal.
[1] Ancienne forteresse construite par le Chabeu où subsistent l’église, des tours, une maison paysanne typique (propriété privée) et une autre maison qui fut la première mairie lors de la création de la commune en 1857.
Guillemot, Joseph Marie (cité en 1869)
Derriat, Pierre (curé d'Attignat ; cité en 1899 et 1903)
Elle a été approuvée le 10 mai 1900 et a cessé toute activité depuis 1955. Elle est dissoute par arrêté préfectoral du 7 août 1970. Elle est formée entre les élèves et anciens élèves des écoles publiques et lycées, collèges, écoles primaires, écoles normales d’Attignat.
Communauté de communes Dombes Saône Vallée (Trévoux, Ain)
Au 1e janvier 2014, les communautés de communes Porte Ouest de la Dombes et Saône Vallée fusionnent pour donner la communauté de communes Dombes Saône Vallée.
Le syndicat de voirie de Nantua est créé le 30 janvier 1984 et se substitue au syndicat intercommunal d’entretien des chemins communaux de la subdivision des Ponts et chaussées de Nantua, autorisé par arrêté préfectoral du 3 août 1964. Il est dissous le 24 mars 2003.
Syndicat temporaire pour la lutte contre le phylloxéra (Villebois, Ain)
Caisse d'assurances mutuelles agricoles de Conand contre les accidents (Conand, Ain)
Gay (puisatier ; cité en 1890)
Syndicat intercommunal des eaux de Montmerle et environs (Montmerle-sur-Saône, Ain)
Pour permettre une scolarisation de meilleures conditions, les trois communes décident de créer un regroupement pédagogique entre les écoles mixtes publiques à compter de l’année scolaire 1975-1976. Pour gérer l’organisation scolaire, un syndicat à vocation unique est constitué ; il prend également en charge le mobilier, les frais de fonctionnement et le transport scolaire. Quant’ au service de restauration, il est administré par un comité de gestion organisé selon la loi du 1er juillet 1901. Un protocole d’accord est signé en novembre 1976.
En 1990, le SIVOS change de dénomination et prend le nom de SIVOSS de Montcet - Montracol – Vandeins.
Syndicat des eaux des Gallanchons et de Coz (Châtillon-en-Michaille, Ain)
Le syndicat change de dénomination par arrêté préfectoral du 23 mars 1987.
Jusqu’au XVème siècle, la commune s’appelait « Saint Didier de Renom » puis prit le nom du fief d’Hugues du Plantay qui en devient propriétaire. Aujourd’hui, seule subsiste la tour de l’ancien château féodal incendié en 1460 par les troupes du duc de Bourbon qui ravagèrent en grande partie la Dombes.
En 1790, la paroisse du Plantay est érigée en commune.
Lors de sa dissolution, l'actif syndical constitué par la propriété bâtie de la maison forestière dite du "Picoly" à Châtillon-en-Michaille (Ain, France) comprenant le bâtiment et le terrain dépendant est transférée à la commune siège : Châtillon-en-Michaille (Ain, France), après remboursement aux autres collectivités adhérentes de leur participation.
Association foncière de remembrement (Mornay, Ain)
Suite à la fusion des communes de Mornay et de Volognat en 1973, une nouvelle association foncière de remembrement est créée et se substituant ainsi aux deux anciennes associations foncières de Volognat qui sont dissoutes.
Communauté de communes des Bords de Veyle (Vonnas, Ain)
Association foncière de remembrement (Illiat, Ain)
Syndicat intercommunal de destruction des ordures ménagères de Thoissey (Thoissey, Ain)
Afin de pouvoir intégrer de nouveaux établissements publics de coopération intercommunale (EPCI), le syndicat décide de sa dissolution et de la création d’un syndicat mixte.
Association foncière de remembrement (Étrez, Ain)
À l’origine, la paroisse d’Illiat dépendait de l’Église de Lyon (Rhône). Au XIIe siècle, la paroisse se développe autour de la Tour de Pionneins. La succession des propriétés de ce château fort arrive au début du XIXe siècle à Antoine Lorin, date à laquelle également on commence à s’occuper du sort des habitants : création d’une école, construction de ponts et de voies d’accès vers les localités voisines, etc. À la même époque, Pierre Bossan, architecte de Notre-Dame-de-Fourvière à Lyon (Rhône) et de la basilique d’Ars-sur-Formans (Ain) fait édifier la flèche octogonale garnie de gargouilles surmontant la tour de l’église.
Datée du XIIe siècle et mentionnée pour la première fois vers 1250 dans un pouillé du diocèse de Lyon, l’église communale est placée sous le vocable de Saint Symphorien. Ses peintures murales romanes de l’abside sont les plus anciennes mises au jour dans le département. Elles semblent dater du milieu du XIIe siècle. L’intégralité du bâtiment ainsi que la parcelle sur laquelle il se situe et les peintures murales du XIIe siècle ont été classés en 2008 au titre des Monuments historiques.
Sous l’Ancien Régime, Arandas, l’une des plus anciennes paroisses bugistes, dépendait des moines de Saint-Rambert dès le Ve siècle puis du duché de Savoie. Le village était une communauté de l’Élection et subdélégation de Belley, dépendant de la justice du marquisat de Saint-Rambert. La seigneurie d’Arandas fut notamment possédée par les Guichard et les Trocu de la Croze (dès le XVIIIe siècle).
L’église Saint-Pierre d’Arandas date des XIe et XIIe siècles. Elle a été reconstruite à la fin du XIXe siècle.
Deux figures se détachent de l’histoire d’Arandas :
• Claude Guichard (v. 1545-1607), seigneur d’Arandas, Argis et Tenay. Après des études à l’université de Turin, il fut secrétaire d’État, maître des requêtes et grand référendaire de Savoie. Sa réputation se fit en tant qu’historiographe de Savoie et poète de langue française et latine, tout en étant proche du grand juriste savoisien Antoine Favre. Il est également le fondateur du collège du Saint-Esprit à Saint-Rambert. Parmi ses ouvrages figurent une traduction du Traité des funérailles des anciens de Tite Live (1581), des pièces en vers tels que Alphabet moral pour la première instruction de Monseigneur le Dauphin et Quatrains sur la vanité du monde.
• Anthelme Ferrand (1758-1834), homme politique né à Indrieux. Avocat à Belley et juge au tribunal d’Ambérieu en 1790, il fut député de l’Ain à la Convention (1792-1795) et au Conseil des Cinq-Cents (1795-1797). Par la suite, il occupe le poste de juge au tribunal de l’Ain (1797-an VIII) puis président du tribunal civil de Belley (dès l’an VIII jusqu’à sa retraite).
La seigneurie de Luthézieu trouve ses origines également au XIIème siècle : possédée par la maison du Theysieu, elle fut vendue successivement à la maison de Luyrieux en 1551, aux Guyot en 1559, à Etiennette de Bourdeaux et son mari Claude Silimand en 1652 et aux Gauthier d’Hostel dès 1658. Les seigneuries de Belmont et de Luthézieu faisaient partie du marquisat du Valromey. Les villages de Belmont et de Luthézieu, sous l’Ancien Régime, faisaient partie du bailliage, élection et subdélégation de Belley.
Malivert, Jean-Marie (1757-18..)
Foncelas, Benoît (cité en 1812)