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Notices d’autorité
Collectivité

Syndicat intercommunal à vocation multiple d’agglomération Jayat - Malafretaz - Montrevel (Montrevel-en-Bresse, Ain)

  • FR28011201200016_NA_000000520
  • Collectivité
  • 1992-01-01/2099

Fin 1991, le conseil du District rural de Montrevel-en-Bresse décide de cesser la gestion des services et équipements qu’il assurait pour le compte des communes, dont le regroupement pédagogique et la maîtrise des ouvrages des travaux d’assainissement de Jayat, Malafretaz et Montrevel-en-Bresse. Par arrêté préfectoral du 11 décembre 1991, le Sivu est transformé en syndicat intercommunal à vocation multiple (Sivom) d’agglomération à compter du 1er janvier 1992.

Saint-Jean-sur-Veyle (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000522
  • Collectivité
  • 1790/2099

Auparavant, la ville se nommait Chavagnat. Elle fut évoquée sous plusieurs termes au gré des siècles : Cavaniacus (XIe siècle), Chavaigniacus (XIe siècle), Chavaniacus (XIe siècle), Chavaignes-sus-Veila (XIIIe siècle), Chavaigneu (XIVe siècle), Chavagnia-supra-Velam (XIVe siècle), Chavaignia (XVe siècle), Sanctus-Johannes-supra-Velam (XVe siècle), Chavania (XVIe siècle), Sainct-Jehan-des-Advantures (XVIe siècle) ou encore Saint-Jean-des-Aventures (XVIIe siècle). Durant la Révolution, la commune prend le nom de Chavagnat-sur-Veyle voire Jean-sur-Veyle avant de prendre sa dénomination actuelle en 1806.

Le village était dépendant du comté de Pont-de-Veyle, du bailliage, de l’élection et de la subdélégation de Bourg, ainsi que du mandement de Pont-de-Veyle.
L’église de Saint-Jean-sur-Veyle est placée sous le vocable de Saint-Jean-Baptiste. Elle prend le statut d’église paroissiale au XVIIe siècle aux dépens de celle de Chavagnat. Elle est inscrite au titre des Monuments historiques depuis 1965.

Saint-Jean-sur-Veyle est le berceau de François Leguat (vers 1637-1735), explorateur et écrivain protestant. Exilé en Hollande en 1689, il fait partie d’une expédition visant à coloniser l’île de Mascareigne (île de la Réunion actuelle) par onze réfugiés huguenots. Leur voyage est finalement détourné sur l’île Rodrigues. Abandonnés, ils quittent l’île près de deux années plus tard et rejoignent l’île Maurice en 1693 où ils sont emprisonnés. Ils sont ensuite conduits à Batavia (Jakarta actuelle) en 1696 puis reviennent, à seulement trois membres d’équipage, en Europe en 1698. Domicilié à Londres, où il décède en 1735, il y rédige son ouvrage Voyage et avantures de François Leguat & de ses compagnons en deux isles désertes des Indes orientales, avec la relation des choses les plus remarquables qu’ils ont observées dans l’Isle Maurice, à Batavia, au Cap de Bonne-Espérance, dans l’isle de St. Hélène & en d’autres endroits de leur route, imprimé en 1708.

Saint-Germain-les-Paroisses (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000523
  • Collectivité
  • 1790/2099

Les premières notices de la paroisse datent du XIIIème siècle. Il s’agit à cette époque d’une seigneurie dépendent de la seigneurie du Bugey. Plus tard et jusqu'au 5 novembre 1653 elle fut rattachée au comté de Rossillon. En 1653 ce territoire est cédé, en titre de seigneurie particulière, par Gui de Migieu, conseiller au parlement de Bourgogne, à Antoine de Carron. Guillaume d'Oncieu de Carron, marquis de la Bâtie, vend cette seigneurie le 7 mars 1734 à Claude-Balthazard de Riccé, écuyer. En décembre 1767 la seigneurie de Saint-Germain et adjugé à Pierre Trocu de Maillat, chevalier de Saint-Louis, lequel en reprit le fief en 1768 et 1773.

La commune de Saint-Germain-les-Paroisses comptait, au XIXème siècle, plusieurs hameaux dont Apregnin, Meyrieu (où se situe la maison-forte Carron), Cessieu, Cote-droite, Essieu, Brognin et Moulin-de-Marchamp. Aujourd’hui, il faut y ajouter le Trappon. Dans le territoire de la commune on y trouve aussi le lac d’Arboreas, la chapelle isolée de Notre-dame-de-Lorette, quelques vestiges du château médieval de Beauretour, ancien château de la seigneurie de Bugey classé monument historique et le four banal de Meyrieu, également classé et construit au XVIème siècle.

Saint-Nizier-le-Bouchoux (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000524
  • Collectivité
  • 1790/2099

Au départ, la commune semble se trouver sous le vocable de Saint Nizier puis de Saint Antoine. On peut supposer qu’elle était sous la protection de l’un ou de l’autre de ces deux saints.

En 1601 et par le traité de Lyon, Saint-Nizier, qui faisait partie de le « Bresse savoyarde », est rattaché au royaume de France. Au cours du XVIIème siècle, la commune prend le nom de Saint Nizier le Bouchoux,. « Bouchoux » viendrait de « boscus » bois, pays de bois soit « Saint Nizier les Boscus ». Sous la Révolution française, la commune devient « Nizier La Liberté » puis reprend son nom actuel.

En 1795, les habitants de Saint-Nizier offrent l’asile au prêtre réfractaire Pierre Reboul, sous le nom d’emprunt de Villeneuve. Après avoir exercé clandestinement le culte pendant quelques années et être arrêté, il reprit l’exercice normal du culte en 1801 à Saint-Nizier-le-Bouchoux, où il resta jusqu’à sa mort en 1837 et où il fut enterré. C’est probablement en remerciement de l’accueil qui lui a été fait qu’il voulut léguer ses biens à la fabrique d’église ; ce que le préfet refusa.

Vandeins (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000525
  • Collectivité
  • 1790/2099

La commune est rattachée au canton de Bourg-en-Bresse depuis le 16 août 1973 ; auparavant elle dépendait de celui de Châtillon-sur-Chalaronne.

Ambléon (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000527
  • Collectivité
  • 1790/2099

Sous l’Ancien Régime, la communauté d’Ambléon appartenait à la maison forte d’Ambléon, propriétaire de la seigneurie de Conzieu. Cette seigneurie appartenait à la famille du Plastre, anoblie en 1468. Au début du XVIème siècle (1701), la châtellenie passe aux mains de la Maison de Mornieu-Gramont.

L’église paroissiale, communément ‘la chapelle’, est dédiée à Saint-Didier et rattachée au diocèse de Belley, archiprêtré d’Arbignieu. Le bâtiment date du XIIème siècle et était entouré par l’ancien cimetière. Sur le pavé, en face de l’autel, il y a une pierre sépulcrale avec l’écusson des seigneurs d’Ambléon D’après Edouard Philippon, l’église d’Ambléon faisait partie de l’ancien patrimoine de l’abbaye de Cluny, confirmée en 1125 par le pape Honorius II.

Armix (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000528
  • Collectivité
  • 1790/2099

Sous l’Ancien Régime, Armix dépendait du bailliage, de l’élection et de la subdélégation de Belley et du mandement de Rossillon, mais également de la seigneurie de Saint-Sulpice.

Lors de la Révolution et jusqu’à l’an V, Armix et Prémillieu (Ain, France) ne formait qu’une seule municipalité.

Ambutrix (Ain France)

  • FR28011201200016_NA_000000529
  • Collectivité
  • 1790/2099

Des fouilles réalisées au lieu-dit « La Bergère » témoignent de la présence d’un habitat à la période gallo-romaine. Durant le Moyen Age Ambutrix était sous le domaine de la châtellenie de Saint-Sorlin. Dès 1191 on trouve mention de la paroisse d’Ambutrix, sous le vocable de Saint-Maurice, laquelle appartenait à l’Abbaye de Saint-Rambert.

En 1333 le village d’Ambutrix fut brûlé au cours des conflits entre Dauphiné et Savoie. Ambutrix fait partie à cette époque du territoire du marquisat de Saint-Sorlin. Lors qu’en 1601, par le traité de Lyon, la Bresse et le Bugey sont cédés à la France en échange du marquisat de Saluces, le roi de France octroie la jouissance du marquisat de Saint-Sorlin à la famille de Savoie-Nemours. De même, en 1607, par lettre patente du Roi de France, les justices de Saint-Rambert et de Saint-Sorlin sont unies en une seule par supplication du Duc de Genevois et de Nemours, marquis de Saint Sorlin et de Saint Rambert.

L’ancien château de Verneaux, aujourd’hui en ruine, dominait la plaine de l’Ain. Il aurait été bâti par Humbert et Guillaume de Vareilles ou leurs descendants, sur des terrains remis par Jean II dauphin de Viennois en 1315. La seigneurie passe aux mains de la famille de Rougemont en 1402. En 1602 le château est vendu et acquis par Pierre de Montferrand, seigneur de Château-Gaillard, Cormoz et Martignat. A la Révolution le propriétaire émigra et le château fut pillé et démolit.

Challex (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000530
  • Collectivité
  • 1790/2099

La toponymie de Challex voit son origine dans le terme latin Calliacum, signifiant « lieu d’enceinte ».

Le territoire de Challex a été sous la domination de plusieurs pays : une enclave du comté de Genève dans la baronnie de Gex (1287-1291), pris par le comte Amédée V de Savoie en 1291 après deux mois de siège (1291-1308), restitué par le traité de Saint-Georges-d’Espéranche au comté de Genève (1308-1321), repris à nouveau par le comte de Savoie (1321-1337), restitué au comté de Genève par le traité de Carentenay (1337-1396), vendu à Olivier de Genève (1396-1537) puis sous domination bernoise (1537-1564) avant de devenir entièrement savoisienne (1564-1601) et enfin française (depuis 1601).

Sous l’Ancien Régime, Challex dépendait du bailliage et de la subdélégation de Gex ainsi que de l’élection de Belley. Quant à la seigneurie de Challex, elle était partagée par plusieurs familles et notamment les Corbière, Verdon, Confignon, Bernard, Roset, Lect, Favre, Lullin ou encore Bourgeois.

Plusieurs personnes liées à Challex peuvent être citées :
• Jean-Antoine Lépine (1720-1814), natif de Challex, horloger du Roi puis de l’Empereur, inventeur du calibre Lépine permettant de fabriquer des montres moins épaisses et fondateur de l’atelier Caron-Lépine. Il est également le beau-frère de Beaumarchais,
• Jean-Irénée Dépery (1796-1861), natif de Challex, vicaire général de Belley puis évêque de Gap dès 1844, fondateur de l’Académie flosalpine, auteur d’une Histoire hagiologique du diocèse de Belley (1835), d’une Biographie des hommes célèbres du département de l’Ain (1835) ou encore d’une Histoire politique et religieuse du Pays de Gex (1851).
• Alexandre Bonnaz (1812-1899), natif de Challex. Après avoir rejoint son oncle en Hongrie, il devient curé de Tribswetter puis prince-évêque de Temeswar (actuellement Timisoara en Roumanie) dès 1860

Champagne (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000531
  • Collectivité
  • 1790/1973

Champagne apparaît vers le milieu du XIe siècle. Au XIIe il était possédé par des gentilshommes du nom et armes de Champagne, dont le plus ancien connu est Marchianz de Champagne, vivant en 1170. Cette famille s'éteignit, vers la fin du XIVe siècle.

Le 1er janvier 1973, la commune de Champagne fusionne avec Lilignod et Passin pouyr former Champagne-en-Valromey.

Lilignod (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000532
  • Collectivité
  • 1790/1973

En 1973, la commune est absorbée par la commune de Champagne-en-Valromey1 tout comme Passin. La commune obtient le statut de commune associée jusqu'en 1997 où la fusion-association est transformée en fusion simple.

Passin (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000533
  • Collectivité
  • 1790/1973

Entre 1790 et 1794, elle absorbe la commune la commune de Chemilieu-Poisieu.

Le 1er janvier 1973, la commune de Passin fusionne avec Champagne et lilignod pour former Champagne-en-Valromey.

Champagne-en-Valromey (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000534
  • Collectivité
  • 1973-01-01/2099

Le 1er janvier 1973, les communes de Champagne, Passin et Lilignod fusionnent pour former Champagne-en-Valromey.

Chanay (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000536
  • Collectivité
  • 1790/2099

Châtenay (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000537
  • Collectivité
  • 1838/2099

La commune a été créée en 1838.

Chézery (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000538
  • Collectivité
  • 1790/1962

En 1962, la commune de Chézery fusionne avec celle de Forens. Le nom de la commune devient Chézery-Forens.

Forens (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000539
  • Collectivité
  • 1790/1962

En 1962, la commune de Forens fusionne avec celle de Chézery. Le nom de la commune devient Chézery-Forens.

Chézery-Forens (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000540
  • Collectivité
  • 1962/2099

En 1962, les communes de Chézery et de Forens fusionnent. Le nom de la commune devient Chézery-Forens.

Crans (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000541
  • Collectivité
  • 1790/2099

Crozet (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000542
  • Collectivité
  • 1790/2099

Druillat (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000543
  • Collectivité
  • 1790/2099

Sous l’Ancien Régime, Druillat dépendait du bailliage, de l’élection et de la subdélégation de Bourg, du mandement et de la justice d’appel de Varambon, ainsi que des terres des seigneurs de Coligny puis du marquisat de Varambon.

Au début du XIIIe siècle, les Templiers fondent à Druillat la Maison du Temple de Molissole, qui se développe alors financièrement et territorialement par le biais des relations avec les seigneurs locaux. La plupart des terres de Druillat et de ses hameaux dépendent alors de la Commanderie. A sa suppression, la Maison devient possession des Hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem.

Échenevex (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000544
  • Collectivité
  • 1833-10-01/2099

En 1789, Échenevex n’était qu’un village de la paroisse de Cessy, diocèse de Genève, archiprêtré du Haut-Gex.

Échenevex est distraite de la commune de Cessy (Ain, France) et érigée en commune par ordonnance royale du 1 octobre 1833 .

Frans (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000546
  • Collectivité
  • 1790/2099

Craz (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000547
  • Collectivité
  • 1790/1972-12-31

Sous l’Ancien Régime, le village de Craz dépendait de la seigneurie de Bognes et, juridiquement, du bailliage et de l’élection de Belley, de la subdélégation de Nantua et du mandement de Seyssel.

Génissiat a toujours été un hameau, tout d’abord de Craz-en-Michaille puis, dès 1827, d’Injoux. L’église Saint-Martin est une annexe de l’église paroissiale d’Injoux.

Injoux (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000548
  • Collectivité
  • 1790/1972-12-31

Sous l’Ancien Régime, le village dépendant du seigneur de Génissiat et, juridiquement, du bailliage, de l’élection et de la subdélégation de Belley et du mandement de Seyssel.

En 1827, Génissiat, hameau de Craz-en-Michaille est rattaché à la commune d'Injoux.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, le barrage de Génissiat, noyé en 1940, fut un très grand foyer de Résistance, impliquant un nombre important d’ouvriers, notamment nord-africains, dont beaucoup furent raflés le 12 février 1944. Le barrage permet un très grand développement d’Injoux au niveau des infrastructures et du nombre d’habitants. C’est en raison de l’importance qu’a pris le hameau et de la notoriété du barrage qui porte son nom, la commune d’Injoux change de nom au profit d’Injoux-Génissiat (1953-1963).

Injoux-Génissiat (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000549
  • Collectivité
  • 1973-01-01/2099

Des traces de civilisation se trouvent dans la commune : la grotte de la Bressane (sous la retenue d’eau du barrage de Génissiat) et l’abris de Sous-Sac, ou encore une voie romaine passant par Bériaz et Lingiaz.

Le 1er janvier 1973 les communes de Craz et d'Injoux fusionnent pour former la nouvelle commune d'Injoux-Génissiat.

Lavours (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000550
  • Collectivité
  • 1790/2099

En 1789, Lavours était une communauté du bailliage, élection et subdélégation de Belley, mandement de Rossillon.

Izernore (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000551
  • Collectivité
  • 1790/2099

Izernore donc la fondation remonte à l’époque celtique, semble avoir eu sous la domination romaine une assez grande importance. On y voit encore les ruine d’un temple.

En 1789, Izernore état une communauté du baillage et élection de Belley, de la subdélégation de Nantua et du mandement de Matafelon.

Lagnieu (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000552
  • Collectivité
  • 1790/2099

Au XIIè siècle, Lagnieu fut propriété des seigneurs de Coligny. Le territoire dépendait de la seigneurie de Saint-Sorlin-en-Bugey, détenue par la même famille. En 1309, le dauphin Jean de Viennois (Jean II) déclara la ville exempte de franchise. Lagnieu devenait une ville franche c’est-à-dire exemptée de tutelle seigneuriale. Ces privilèges furent augmentés et confirmés jusqu’au XVe siècle. Lagnieu fut propriété de comtes et ducs de France et de Savoie jusqu’au XVIIIe siècle. C’est à partir de 1461 que Lagnieu se vit octroyer le droit d’établir des foires et marchés, gage de richesse et d’expansion commerciale. En 1716, les chartreux de Portes acquirent le territoire avec celui de Saint-Sorlin-en-Bugey ; et ce jusqu’en 1789.

Le 10 janvier 1965, Proulieu intègre la commune avec une fusion simple.

Proulieu (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000554
  • Collectivité
  • 1790/1965-01-10

Le 10 janvier 1965, Proulieu intègre la commune de Lagnieu avec une fusion simple.

Leyssard (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000555
  • Collectivité
  • 1790/2099

Par ordonnance royale, quatre de ses hameaux (Merpuis, Sonthonnax, Malaval et Serrières) sont détachés de Leyssard afin de former une nouvelle commune, celle de Serrières-sur-Ain.

Loyettes (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000556
  • Collectivité
  • 1790/2099

La première trace d’habitation semble remonter à saint Barnard de Romans qui, après son installation à Ambronay, décide d’établir une tour défensive sur les bords du Rhône vers 803.

Sous l’Ancien Régime, Loyettes était une seigneurie puis une baronnie dépendant initialement, et avec son port, des abbés d’Ambronay avant d’être la possession des maisons d’Anthon et de Genève (vers 1200-vers 1350), de nouveau les abbés d’Ambronay (vers 1350-1371), la maison de Savoie (1371-1579) qui l’inféode successivement au cardinal Robert de Genève (1375-vers 1378), au comte Pierre de Genève (vers 1378-1381), à Gillet Richard, seigneur de Saint-Priest (1381-1393), à Odon de Villars, seigneur de Baux (1393-1414), à Georges de Varax, seigneur de Chazey (1443-1462), à Philippe de Savoie, comte de Bresse puis duc de Savoie (1462-1497) puis à son épouse Claudine de Brosse (1497-1513), à Charles de la Chambre (1529-1534), à Jean-Louis Coste, comte de Châtillon et de Pont-de-Veyle, puis à Jean-Jacques Trivulce, comte de Melzio (jusqu’en 1579). Par le traité de Montluel, la baronnie est vendue à Henriette de Savoie, duchesse de Mayenne qui la rattache au marquisat de Miribel (1579-1601) puis à la maison de Saulx-Tavannes (1601-1719) et aux Durand de la Buissonnière (1719-1789).

Un château-fort doté de sept tours était présent sur les bords du Rhône. Il ne résista pas au siège mené par Biron en 1595 lors de la conquête des terres savoisiennes et ses fortifications ont disparu lors des crues de 1734. Les ruines du château sont venues en 1844 à un épicier lyonnais, Julien Lesbros. Un prieuré appartenant aux religieux d’Ambronay existait également dans le bourg dès le XIIIe siècle.

Elle dépendait également du bailliage, de l’élection et de la subdélégation de Belley et du mandement de Saint-Sorlin. Religieusement, l’église paroissiale Saints-Jacques-et-Christophe relevait du diocèse de Lyon et de l’archiprêtré d’Ambronay.

Congrégation des frères Capucins

  • FR28011201200016_NA_000000557
  • Collectivité
  • 1628/1719

L'ordre des Capucins établi un couvent à Seyssel en 1628, sur la rive droite du Rhône. Les Capucins développeront une activité importante dans la commune et entreprendront des travaux de contention des rives du Rhône comme la construction d'une digue pour protéger les vergers environnants. Des travaux de fortification seront réalisés dans le couvent à la fin du XVIIème siècle. Par attribution de l'abbé de Saint-Just, vicaire général, les frères capucins de Belley, Seyssel et Gex exercent la confession, la prière, le catéchisme et ont le droit de faire la mission dans les paroisses du diocèses de Lyon.

Bourg-en-Bresse (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000559
  • Collectivité
  • 1790/2099

Avant l’arrivée de Jules César en Gaule, il existe une bourgade gauloise non loin de la jonction des deux rivières du Cône et de la Reyssouze. Vers l’an 20 avant notre ère, les Romains s’installent dans la région et profitent de la colline dominant la vallée pour y construire une forteresse. Ils remplacent la primitive citée gauloise par une cité romaine. Cette dernière est certainement incendiée entre 250 et 280 durant les grandes invasions. Vers 480, le peuple des Burgondes, venant des rivages de l’Oder et de la Vistule, envahit la région jusqu’aux rivages du Léman et du Rhône, et en prend possession.

En 927, l’évêque de Mâcon, saint Gérard, décide de se retirer dans la forêt de Brou et y fonde un prieuré.

En mars 1251, Guy de Bagé, seigneur de Bresse, accorde à Bourg-en-Bresse sa première charte de franchise. Celle-ci définit les obligations de la population locale vis-à-vis de son seigneur, et vice-versa. Elle fait de Bourg une cité bien « assise » et bien fondée.

En 1272, Bourg devient une cité de Savoie, grâce au mariage de Sybille de Bagé, héritière du seigneur de Bresse, et d’Amédée de Savoie, futur comte Amédée V. Bourg devient alors rapidement un puissant chef-lieu, et une « capitale » pour certaines affaires.

Au XVIème siècle, la ville bénéficie de trente ans de paix et de prospérité grâce à Marguerite d’Autriche, duchesse douairière de Bresse. Celle-ci fait construire l’église et le monastère royal de Brou pour servir de mausolée à son mari le duc Philibert de Savoie.

Entre 1536 et 1559, Bourg-en-Bresse devient française par conquête de François Ier. L’installation des armées royales en ses murs est vécue comme une véritable « occupation ». Les rois de France font renforcer et développer les fortifications de la ville par l’ajout de bastions. Ces travaux sont financés par de lourds impôts qui pèsent sur la population, au point que la construction de la collégiale Notre-Dame est interrompue.

Le 3 avril 1559, le traité de Cateau-Cambrésis est signé entre Henri II, roi de France, et Philippe II, roi d’Espagne : celui-ci met fin aux guerres d’Italie, et rend la Bresse à la Savoie.

Le 17 janvier 1601, les ambassadeurs du roi de France, Henri IV, et ceux du duc de Savoie, Charles-Emmanuel, signent le traité de Lyon. Celui-ci permet à la France d’acquérir définitivement les provinces de Bresse, du Bugey, du Valromey et le Pays de Gex, en échange du marquisat de Saluces, actuellement en Italie, près de Nice. Bourg-en-Bresse est alors rattaché administrativement à l’Intendance de Bourgogne, tout en restant capitale de la Bresse.

A partir de 1771, Bourg-en-Bresse change sa physionomie. La ville bouche ses fossés, abat ses murailles, démantèle ses tours, détruit certaine maisons pour pouvoir aligner ses rues. Les glacis et les terrains vagues font place à des jardins et des habitations. Les bastions de François Ier deviennent des promenades. Les chemins de ronde se transforment en grands boulevards. La ville finit par remplacer tous ses édifices publics (hôtel de ville, grenette, abattoirs, théâtre et hôpital) par des bâtiments neufs.

A partir des années 1850, le progrès permet à Bourg de bénéficier de nombreuses transformations. Le chemin de fer obtient droit de cité. De nouvelles routes et une avenue pénétrante sont créées, alors que les ruelles sombres et étroites sont complètement détruites. La ville se dote d’une poste. Des immeubles « bourgeois » sont construits. L’industrie commence à s’installer mais il faudra attendre le XXème siècle pour voir l’arrivée de fabriques importantes et de grandes surfaces : Berlier, Tréfilerie-câblerie de Bourg, Câbles de Lyon et Martin-Belaysoud s’implantent en ville ou en périphérie.

Apremont (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000560
  • Collectivité
  • 1790/2099

La commune est constituée de deux hameaux principaux : Petit Vallon et Grand Vallon et de petits groupes de maisons : la Gottête, Ablatrix, Planaize, l’Entrpôt, les Granges, Molet, sous-le-Mont, Veyment.

Innimond (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000563
  • Collectivité
  • 1790/2099

Le 19 juillet 1851, le village a été entièrement incendié.

Magnieu (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000564
  • Collectivité
  • 1790/2018-12-31

La commune de Magnieu fusionne avec la commune de Saint-Champ le 1er janvier 2019 pour former la commune nouvelle de Magnieu.

Saint-Champ

  • FR28011201200016_NA_000000565
  • Collectivité
  • 1790/2018-12-31

Par un arrêté préfectoral du 23 novembre 2018, Saint-Champ est absorbée par Magnieu le 1er janvier 2019.

Massieux (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000566
  • Collectivité
  • 1790/2099

La commune de Massieux a été rattachée à Parcieux vers 1816 jusqu’à ce qu’un arrêté préfectoral de 1818 l’en sépare.

Saint-Jean-le-Vieux (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000567
  • Collectivité
  • 1790/2099

Le hameau de Varey est dominé par un château fort. Ce château complètement restauré vers 1868, est certainement le plus beau reste de la féodalité dans le département. On peut encore voir une grande partie des fossés, les murs d’enceinte, le donjon. Ce château fut assiégé en 1325 par le duc de Savoie Edouard.

Sergy (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000568
  • Collectivité
  • 1790/2099

Niévroz (Ain, France)

  • FR28011201200016_NA_000000569
  • Collectivité
  • 1790/2099

A l’origine, le village s’est développé de la maison de La Cras à l’église. Deux quartiers plus éloignés se sont déployés aux mêmes dates : le Gorgolion et le Bourbuel, le plus
important. Ces deux quartiers se sont rejoint avec les constructions. Deux autres hameaux ce sont formés celui des Tuilières et Pont de Jons.

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